Certaines personnes sont entêtées tellement qu’ils leurs est difficile de développer une vision plus large qu’eux-mêmes et ceci les empêchent d’approfondir certaines facettes de l’expérience à leur avantage, car leur entêtement leur donne l’impression d’avoir raison. Hors l’entêtement est une forte formulation du caractère mais il dénote une faible imagination créative car il provient d’une attitude foncière de l’égo qui refuse d’être délogé, car elle est maintenue en place par une certaine vanité d’esprit ou fierté qui est fondé sur l’insécurité de l’être.
Derrière l’entêtement, il y a toujours l’insécurité de l’ego L'entêtement empêche de connaître d'autres plateaux d'expérience car son attitude est tellement rigide, tellement difficile à déloger, qu’il ne peut se rendre à l’évidence que peut être s’il voyait les choses d’un autre œil, il y découvrirait du neuf qui puisse le bien servir.
L’entêtement engendre dans l’égo encore plus d’entêtement car il se renforcît émotivement en se donnant l’impression d’avoir raison. Mais souvent l’égo a besoin de voir les choses d’une autre façon afin de développer de la souplesse d’esprit. La souplesse d’esprit permet à l’égo d’entretenir plus de possibilité dans sa vie s’il est entêté il se coupe de la vie et cette dernière se coupe de lui car la vie ne revient pas sur ses pas. Et le chemin qu’elle trace se rétrécit de plus en plus, si l’égo s’entête trop de sorte que, un jour ce chemin devient si étroit que l’égo s’aperçoit qu’il ne lui reste plus de possibilité.
L’entêtement est une brutale de l’esprit devant une autre option car l’esprit est dominé par des forces intérieures en lui qui retarde l’évolution de l’égo. L’entêtement restreint l’intelligence de l’homme en surface cela n’a rien d’inquiétant comme tout d’ailleurs chez l’homme. Mais lorsque nous regardons la psychologie de l’homme d’un plan plus élevé que celui de la raison, nous y trouvons des mécanismes qui nous font bien comprendre pourquoi la vie de l’homme entêtée est si limité.
L’entêtement est une vibration qui vient de la mémoire de l’âme et non de l’intelligence de l’homme différence fondamentale et qui doit être réalisé. La personne entêtée se croit, c’est-à-dire qu’elle se coupe de la réalité objective de son intelligence réelle et se donne l’impression d’être intelligent. L’égo doit reconnaître la vibration de la mémoire qui est à l’origine de l’entêtement et graduellement en venir à la contrôler afin de libérer en lui une énergie supérieure qui défait cette mémoire et remplit l’égo d’une intelligence fraîche, créatrice, lucide et réellement dynamique.
L’entêtement est dû au fait que l’égo n’a jamais été confronté au cours de son éducation de bas âge a une volonté intelligente qui put le discipliner afin de corriger les excès de caractère qui nuisent l’évolution créative de sa personnalité. De sorte qu’avec les années il a conservé se faux plis dans le caractère et sa personnalité en est affecté aujourd’hui. L’âme est puissante, elle domine l’homme de multiple façon. L’entêtement est une de ces façons et l’égo doit apprendre à reconnaître ces mécanismes qui font de lui et de ceux qui sont en relation avec lui, des êtres dominés directement ou indirectement par l’énergie de la mémoire de l’âme. Tant que l’ego ne l’a pas reconnu.
Tant que l’égo ne l’a pas reconnu, il se crée en lui une fausse opinion, son opinion et de la stratifie son intelligence réelle. L’homme a tellement besoin pour bien vivre d’intelligence réelle et d’intelligence vibratoire qu’il ne peut se permettre d’être entêté. La vie est tellement subtile et difficile que toute la clarté possible lui est nécessaire s’il veut bien vivre. L’entêté est un don quichotte qui se nourrit des illusions de son intelligence et qui persiste en s’en nourrir. L’homme doit apprendre à regarder le point de vue de l’autre, car l’intelligence réelle se déverse dans tous les hommes, selon leur mesure et toute mesure vaut la peine d’être prise en considération sinon nous vivons dans une tour d’ivoire seul.
L’entité ne peut se lier facilement d’amitié avec les hommes de forts calibres, car il n’a pas de pouvoir d’influence sur eux. Ils le reconnaissent trop bien. Alors il se liera avec des faibles et fera d’eux ses esclaves ou il vivra seul. L’entêté apparaît fort aux yeux des faibles car eux ne connaissent pas la vraie force et leur insécurité les poussent à former union avec ceux qui leur apparaissent forts les entêtés.
Par contre un entêté de nature peut développer une grande centricité mentale dès qu’il a cessé de se prendre au sérieux, ou de se prendre pour le nombril du monde. Mais une telle transformation ne peut se faire sans qu’il subisse certains chocs de réalité, qui mettront son édifice par terre avant qu’il s’en construise un autre cette fois plus réelle et plus valable. Détruire l’entêtement chez un être n’est pas un travail d’une journée. C’est un travail qui se fait au fur et à mesure qu’il réalise qu’il y a d’autres points de vue qu’il n’a pas encore pris en considération. Son drapeau doit être abaissé au moins une fois devant ses yeux avant qu’il comprenne son entêtement et réalise qu’il y a derrière cet entêtement de l’insécurité et de la vanité d’esprit.
L’entêté est vaniteux car il a l’impression d’avoir raison d’être intelligent. Hors l’impression d’avoir raison est le résultat des blocages de l’âme contre l’énergie de l’intelligence réelle. Ce blocage est tellement fort que l’égo n’a pas d’autre choix que de le vivre, de le subir et automatiquement développer l’impression d’avoir raison. Avoir raison est une impression et n’a rien avoir avec l’intelligence réelle. L’intelligence réelle n’a jamais le besoin d’avoir raison, elle est intelligence mais l’égo lui lorsqu’il est entêté substitue le fait ou le besoin d’avoir raison pour ce qu’il considère de l’intelligence de sa part. Cette intelligence est remarquable car elle découle du fait de son intelligence inférieure qui paralyse son intelligence réelle.
L’entêté est un être malheureux, car son entêtement créera naturellement en lui un déséquilibre dans ses humeurs de sorte que, il aura de la difficulté à réaliser le sentiment d’être gentil, bon, affable pour les autres. Impuissant vis à vis ces grandes valeurs morales il cherchera peut-être à les imiter mais elles ne les garantiront jamais la chaleur qu’elles dégagent lorsqu’elles sont réelles et fondées sur le rapport entre l’égo et l’intelligence réelle. Pauvre de cette chaleur humaine qui rend l’homme créativement social, l’entêté vivra une vie plutôt retiré avec peu d’amis, autres que ceux qu’il aura maintenu dans son cercle à cause de leurs faiblesses.
Il faut faire la différence entre être entêté et têtu. Être têtu reflète un manque d’expérience et un caractère plutôt fort, alors qu’être entêté représente un manque d’intelligence et un caractère plutôt fort. Un peu mener à l’autre si l’égo n’apprend pas par expérience que son point de vue est une possibilité seulement et non toutes les possibilités. Il est préférable d’être têtu qu’entêté, car le têtu peut être modifié dans son attitude par des parents intelligents et volontaires lorsqu’il est en bas âge. Mais l’entêté reflète un durcissement des artères souples de l’intelligence créative. Une personne peut avoir beaucoup de caractère et ne pas démontrer d’entêtement, son caractère fort lui permettant de pouvoir en avant afin de se tailler une vie meilleure, mais jamais au risque de se perdre de l’intelligence et de diminuer son rapport avec elle. Ceci requière une sorte de maturité émotive et mentale qui l’avantage de ces activités journalières et ses contacts avec les hommes.
L’entêté diminue constamment les chances de pousser plus loin son intelligence, car il obstrue la psychologie de son intelligence en interprétant les choses selon un barème de valeur que seul lui juge approprié. Ce coupant ainsi de l’expérience des autres. Il est forcé alors de se replier sui lui-même et de s’emmurer à l’intérieur de sa fausse psychologie. Cette emmurement le plonge dans un statisme qui au cours des années se durcit et creuse l’inévitable fossé entre l’entêté et ceux qui sont autour de lui. Ce faussé l’éloigne des autres et le centre sur un aspect de lui-même qui ne pourra jamais l’élever au-dessus du rempart dont il se sera entouré en croyant avoir raison dans son ignorance.
L’ignorance de l’entêté est crasse car elle apparait intelligente et son égo s’en fait une gloire. Alors que sa gloire n’est vue que de ses yeux alors que les autres ne voient rien. L’entêté est un homme qui s’attribue des qualités qui ne possède pas, c’est-à-dire qu’il se perçoit mais il ne se voit pas. Et à cause de cette limitation de sa vision personnelle il demeure impuissant à s’attirer les bonnes grâces de son entourage. Il répugne aux hommes de bonne volonté et s’aliène pour de bon ceux qui sont dans l’intelligence et la volonté réelle, jusqu’à ce qu’il ait dépassé son égo centrisme.
L’entêté recours toujours aux mêmes moyen afin de ne pas capituler, il se fâche, il a facilement la capacité de se fâcher. Il se fâche car c’est le seul moyen à sa disposition pour avoir raison pour démontrer qu’il a raison. Il peut rationaliser tout, même ce qui est évident et contre son optique. Un aspect de l’entêté que l’entêté ne peut souffrir c’est quelqu’un aussi ou plus entêté que lui. Alors c’est la bagarre, car le couloir de l’intelligence entre les deux est tellement étroit que le bon sens ne peut plus rayonner. Inutile d’en dire plus long sur ce cas à double couverts.
L’entêté n’est pas nécessairement mauvais garçon ou mauvaise, mais sa façon de traiter avec les autres lui donner l’apparence de surface d’être mauvais garnement. Il faut se méfier des apparences et lui reconnaître d’autres faits saignants de sa personnalité qui joue en sa faveur, sinon on peut facilement perdre une certaine affection pour lui. Chez les enfants il faut se garder de se trop courroucer envers eux car souvent c’est le caractère qui ressort et qui veut s’exprimer avec force, mais l’expérience et l’intelligence ne sont pas encore suffisant et seul les années produiront peut-être un être valable, si les parents sont intelligents, patients et surtout disciplinaire.
L’enfant qui dénote de l’entêtement outre mesure projette probablement un caractère très fort, qu’il faut absolument ombrager de l’expérience et de l’intelligence parentale, sinon il deviendra difficile et le temps prouvera que peu de plaisir de vie pourra être échangé entre parents et enfant. L’entêtement est un dispositif de l’âme dans l’homme et ce dispositif peut facilement ternir la vie de l’égo. Remarquez que l’âme son évolution n’a rien à faire avec l’intelligence réelles, au contraire elle peut facilement la bloquer car la mémoire est toujours plus près de l’homme que ne l’est l’intelligence réelle. Pour être réellement intelligent il faut souffrir un peu de son passé, de sa mémoire. Hors l’entêté ne réalise pas que son attitude est forcé et super imposer sur son égo et qu’il doit bien voir le jeu afin de se libérer de ce trait exécrable de la personnalité inconsciente.
Le plan astral est un monde où toutes les sortes de personnalité œuvrent selon la mémoire de l’âme, c’est-à-dire que ce plan invisible faisant partie de la réalité subtile de l’homme étant engagé à fournir à l’âme le matériel de vie qu’elle a de besoin pour être bien réfléchit dans l’homme et ce matériel est fait des pensées et des émotions humaines qui sont en harmonie vibratoire avec certaine personnalité invisible qui se force à faire apparaître dans la personnalité humaine ces qualités ou défauts qui corresponde avec l’énergie vibratoire de l’âme ou la mémoire en évolution. L’entêté de nature n’exhibe pas nécessairement une force de caractère pure, c’est-à-dire une volonté réelle, la force de caractère apparente de l’entêté fait partie de l’illusion de son intelligence super imposé sur une vanité d’esprit de sorte qu’il donne l’apparence d’une grande fortitude mais sa fortitude est purement une configuration d’émotion et de son intelligence limitée par l’énergie de l’âme de la mémoire de l’âme dont il est esclave.
L’entêté est un bon exemple de l’homme esclave de la mémoire de l’âme, de sa force sur le plan matériel et c’est justement cette énergie de la mémoire que l’homme doit un jour contrôler s’il veut aller plus loin que la mort dont l’heure lui sera dictée par l’âme lorsqu’elle aura profité de l’expérience de l’égo. Cette condition est abominable pour l’homme car c’est la lumière qui doit-être son lien avec l’infini et non la mémoire. L’entêté est tellement assujetti à la mémoire d’âmes que son intelligence ne parvient pas à s’épanouir, c’est- à-dire ne parvient pas à dépasser les cadres obscures de l’émotion qui la colore et lui donne sa lourdeur. L’émotion chez l’entêté n’est pas nécessairement apparente mais elle est là au fond de lui-même. Son insécurité est niée devant la glace de son égo, mais elle fait la garde au fond de lui-même, car l’âme, la mémoire d’âmes y veille.
L’entêté prend pour acquit qu’il a raison car son orgueil et sa vanité lui servent de faux support pendant qu’il combat contre son insécurité égoïque. Il est plus facile à l’entêté de sentir qu’il est sûr que de réaliser qu’il est insécure, car la façon dont il voit les choses lui cache la contrefaçon du réel. Alors que l’entité semble se renforcir par son entêtement, il perd petit à petit la clarté de l’intelligence réelle et sa volonté subjective efface la véritable nature de son vrai moi, car elle lui démontre subjectivement une force qui s’apparente qu’au caractère violent de son âme plutôt qu’à la force vibratoire qui le lie à la lumière en lui.
L’entité projette sa personnalité sur ceux qui l’entoure et cette projection est absorbée par ceux qui sont de faibles natures. Mais s’il projette sur ces personnes qui ont la capacité de la repousser, il perd contenance car il ne peut plus se satisfaire intellectuellement et cette insatisfaction est la seule condition qu’il puisse lui apprendre a abaisser pavions. Alors il peut lentement se corriger mais il faut pour que cette correction ait du succès qu’il se retrouve face à face et de façon continue avec ceux qui puisse le repousser. Sinon il reprendra sa fausse force et continuera son rôle de don quichotte.
L’entêté perturbe ses relations humaines sans rendre compte souvent car il est tellement sûr de lui-même. Ce n’est qu’au cours de l’expérience de rejet qu’il peut prendre un peu conscience de lui-même. Mais cette conscience est minime, l’entêté peu vraiment retarder son évolution vers l’intelligence réelle car son égo est dense et lourd cette cuirasse ne parvient pas à craquer suffisamment pour que se filtre l’intelligence vers l’intérieur. Si l’intelligence se fait sentir il doit tout de même s’assurer que son entêtement ne fasse surface jusqu’au jour où il puisse en prendre conscience instantanément.
L’entêté doit apprendre s’il veut devenir créativement intelligent que la vibration de l’entêtement est suffisante pour lui faire perdre contrôle de l’harmonie qui doit exister entre lui et les autres, en lui donnant l’impression d’avoir raison et aussi en le poussant à vouloir avoir raison. C’est cette mauvaise habitude qui le retient dans le développement de l’intelligence supramentale car cette intelligence ne peut- être sous son contrôle. Or si l’égo à cause de son entêtement ne s’ouvre pas au mouvement libre de l’intelligence vibratoire, il se bloque et cette dernière ne peut faire partie de lui, car elle ne peut être assujetti à l’‘âme. L’entêtement chez l’homme dénote son immaturité que l’homme n’a pas encore apprit à placer ses valeurs là où elles doivent compter là où elles l’enrichissent réellement.
L’entêtement est définitivement une marque d’immaturité dans l’intelligence et cette immaturité peut coûter cher dans la vie si elle n’est pas réalisée, car elle démuni l’égo des moyens dont il a de besoin pour vivre en harmonie avec les autres et être bien dans sa peau. Plus l’égo avance en âge plus l’entêtement devient coûteux. Le phénomène humain de l’entêtement crée une cloison entre l’universel et le planétaire. Lorsqu’un égo s’entête, il bloque l’énergie de l’intelligence universelle en lui et lorsque ce phénomène s’applique à l’échelle d’une toute race ou de toute une civilisation, il ne faut pas se demander pourquoi la vie sur le plan matériel devient de plus en plus difficile pour l’homme et les peuples.
L’entêtement sur le plan individuel doit-être comprit avant que les peuples et les nations puissent s’harmoniser, car tout dépend de l’individu et plus l’individu à d’effet sur la conscience sociale plus il devient important que cet individu puis t’être ouvert à l’intelligence créative en lui, sinon le risque de rompt les pour parler entre les hommes s’aggravent et c’est ce que nous découvrons de plus en plus et lorsque les risques sont à leur maximum la guerre n’est pas loin. L’entêtement est dangereux et malsain car il est foncièrement issu de l’orgueil et nous savons que l’orgueil est la carapace de l’égo, c’est le mur entre l’intelligence réelle et la fausse intelligence ou l’intellect. Il ne s’agit pas pour l’individu de s’inquiéter de ce que l’entêtement peut créer sur le plan collectif des nations mais il doit reconnaître que le plan individuel opérant à l’échelle d’un homme se multiplie à l’infini à l’échelle des nations
L’entêtement est tellement malsain qu’il tue l’amour de parler entre deux êtres et pourtant l’amour de parler est la force qui lie deux hommes, trois hommes, une race complète. L’amour de parler est ce qui est de plus cher à l’homme et cette amour ne peut exister, ne peut se développer lorsqu’il y a entêtement. L’amour de parler sera la marque de la sixième race humaine et il permettra à la race d’augmenter de façon continue l’intelligence raciale car l’égo ne bloque plus l’intelligence pure. L’entêtement sera banni de cette conscience supramentale et raciale et tous les égos conscients bénéficieront des uns, des autres sans exception. La mort de l’entêtement dans une race l’enrichit tellement qu’elle se protège de l’insertion à longue échelle. Il faut comprendre les mécanismes de l’esprit de l’homme pour lui comprendre l’évolution de la race. Il faut réaliser les bénéfices et les dangers que court une race afin d’éclaircir l’esprit de l’individu. L’individu est important pour la race et la race pour l’individu. Lorsqu’une coupure se fait entre ces deux réalités, l’individu est perdant car la race le détruit.
L’entêtement ne peut faire partie d’une psychologie supramentale, car il étouffe l’intelligence et tue l’amour de parler dans l’homme. Et l’homme a perdu la faculté de parler créativement, c’est-à-dire de canaliser l’intelligence réelle, il ne lui reste que l’impression de l’intelligence et cette impression devient son illusion, c’est-à-dire la mort graduelle de son esprit et de l’esprit de la race. L’échange entre deux hommes doit-être réel pour que l’énergie passe de l’un à l’autre et vis versa. Sans cet échange foncier de l’énergie vitale et intelligent par le biais d’un centre mental suffisamment développé. La vie matérielle perd son éclat, sa vitalité, sa force.
Voilà pourquoi l’homme à développer l’amitié, afin de faciliter le passage de cette énergie même inconscient. Mais l’amitié peut unifier à une petite échelle mais elle ne permet pas d’unifier à l’échelle de toute race. La seule force qui peut unifier l’homme au niveau de toute race c’est l’amour de parler et ceci est impossible s’il y a le moindre entêtement dans l’homme. L’entêté sera toujours seul dans son coin car les hommes de haute intelligence non pas d’énergie à perdre, à se confronter dans l’arène des mots et des attitudes cristallisées. Ils veulent vivre, échanger, grandir dans l’énergie vitale du mental inférieur.
Pour élever la conscience d’une civilisation, l’esprit des individus doit-être élevé et les caractéristiques anciennes de cet esprit mire à jour pour qu’enfin les égos atteignent le degré de maturité dont ils ont de besoin pour se découvrir et vivre réellement de la force créative en eux qui fut par le passé bloquée par toute sorte d’attitude malsaine incomprise et non réalisé dont l’entêtement n’est qu’un exemple. L’homme doit reconnaître ce qui en lui ne tourne pas rond et le réaliser. S’il le réalise il se fera en lui un ajustement et il deviendra plus libre, c’est-à-dire plus intelligent réellement. L’intelligence réelle n’est pas seulement un bien être pour l’homme mais aussi une condition future de sa vie selon les lois de son évolution personnelle.
L’entêté est un homme qui ne voit pas, qu’il ne voit pas. Il a l’impression seulement de voir et cette impression est suffisante pour le diminuer dans son intelligence réelle même si son intellect est grand, car ce n’est pas la grandeur apparente de l’intellect qui compte pour l’homme mais son perfectionnement vers l’intelligence. Et ce perfectionnement coïncide avec l’ajustement continu des idées que nous nous faisons de nous-mêmes. La force créative de l’intelligence s’ajuste avec le mental humain, au fur et à mesure qu’il a reconnue et saisit les attitudes qu’il considérait naturelles par le passé. Hors l’intelligence créative est une force qui ne peut être divisée.
L’entêté ne peut-être dans l’intelligence supramentale que dans la mesure qu’il se réévalue face aux autres, c’est-à-dire-là qui avance dans cette conscience universelle. L’entêté doit se surveiller constamment à ce que son entêtement soit remplacer graduellement par une intelligence de plus en plus fluide, flexible, capable d’écouter et non égocentrique. Être capable d’écouter les autres est une mesure de l’absence de l’entêtement chez l’homme et cette mesure constitue la qualité fondamentale de l’être conscient et intelligent. Ce qui retarde l’entêté c’est son impuissance devant l’option qui lui est étrangère. Son impuissance à reconnaître l’autre point de vue. Ceci est extrêmement malsain car la vie le lui apprendra, car l’entêté doit apprendre beaucoup de la vie, puisqu’il ne peut écouter les autres qui peuvent lui apporter le bénéfice de leur expérience. C’est alors qu’il se retarde et qu’il se voit obligé de passer par des sentiers qui ont déjà été battus.
L’entêté se sévère de l’expérience des autres et s’engage à revivre ce qui est déjà classé. Le développement de l’intelligence supramentale doit effectuer par sauts et par bonds tant que l’égo est entêté. Le développement de l’intelligence réelle est suspendu car le canal est fermé et l’homme s’attarde à lui-même. Pour que l’intelligence réelle se développe chez l’homme, le canal doit demeurer ouvert afin de permettre à l’homme d’absorber de plus d’impression vibratoire sur ses centres d’où le développement de la conscience, c’est-à-dire de cette sensibilité à l’intérieur de soi qui renforcie les centres de l’homme et le rendre plus en plus intelligent réellement.
Il n’est pas évident à l’entêté que sa façon d’agir est nuisible car il n’a pas la suffisance de l’intelligence, il n’est pas suffisamment sensible à sa propre énergie pour reconnaître que son comportement est nuisible. Et c’est pourquoi l’entêtement est une contrefaçon de la réalité de l’intelligence de l’homme et cette contre façon est le résultat de la connexion direct entre la mémoire de l’âme et l’égo. Et l’homme doit un jour réaliser la connexion entre l’âme et l’égo car c’est cette réalisation qui lui permettra de se transformer de briser avec la mémoire de l’âme, de renouer les liens avec des forces qui sont en lui infini et qui peuvent entrer en lui et le retrancher complètement de son passé évolutif.
Ces forces ont le pouvoir de lui donner une intelligence neuf, une intelligence qui n’est pas asservit par le passé, une intelligence qui est totalement créative et qui lui permettra de vivre une vie libre et non pas une vie qui est sous le cachet de ses émotions et de la vanité de son esprit, vie qui par elle-même est pauvre, car non seulement elle en appauvrit celui qui en est l’esclave, elle appauvrit aussi les relations avec d’autres personnes qui pourraient rendre la vie sociale plus plaisante, plus affable et plus harmonieuse.
L’entêté est un homme qui est un peu malade dans l’esprit et si cette maladie va trop loin il peut effectivement devenir malade dans l’esprit, dans ce sens que son esprit ne pourra jamais devenir libre et automatiquement sera forcé de subir des forces, subir des conditions vibratoires qui le lieront au passé de son évolution au lieu de l’engager dans un avenir où toute conscience, toute intelligence réelle est le médium de l’esprit de l’homme et l’infinité de l’esprit de l’homme lui permettant dans un avenir quelconque d’entamer un dialogue avec des intelligences qui sont supérieures à l’homme, mais très près de lui La vie de l’entêté est une vie qui est pauvre, car cette vie est fondée sur ce que lui croit, elle est fondée sur son propre point de vue. Elle est pauvre car elle n’accepte pas le point de vue des autres qui souvent possède ou peuvent donner des opinions qui pourraient corriger des erreurs quelconques et empêcher ainsi l’individu de souffrir inutilement.
L’entêté est un homme qui doit se mélanger, qui doit apprendre à se mélanger aux autres hommes dans l’amour de parler. Il doit apprendre à réaliser que d’autres hommes peuvent lui fournir de l’information, lui fournir des points de vue qui élargiront sa vision lui permettront de voir plus loin, plus précisément plus de clarté afin de faciliter sa vie qui est déjà suffisamment difficile. Autant être entêté et malsain pour l’homme, autant être entêté est malsain pour la société de l’homme, car dans la société de l’homme la seule force qui peut unir, qui peut unifier, harmoniser c’est l’amour de parler et cette force ne peut pas être vécue, connue lorsque l’homme est entêté et ne peut et à cause de son caractère, à cause de son immaturité s’engager dans un dialogue de deux voies.
L’entêté doit réaliser que son caractère nécessite une transformation, que son caractère nécessite un ajustement afin que sa personnalité s’adoucisse, afin que son intelligence devienne plus fluide, plus harmonieuse, plus réelle pour que lui demain puisse vivre en harmonie avec l’homme et qu’il puisse bénéficier de l’intelligence de l’homme comme l’homme conscient pourra bénéficier de la sienne.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire