30 mai 2023

C. 20B INTERFÉRENCES

              

Le phénomène d’interférence dans la vie de l’homme est totalement incompris de ce dernier. Car tant que l’homme n’est pas conscient de l’énergie de l’esprit, de l’énergie qui le traverse, il ne peut réaliser les interférences de l’esprit, c’est-à-dire les problèmes que créent pour lui l’esprit, afin de transmuter les corps subtils. L’ego souffre dans la vie de deux façons, d’une façon inconsciente ou d’une façon consciente. Dans la souffrance inconsciente, il y a aussi des interférences de l’esprit, mais l’égo ne réalisant pas la présence de l’esprit, de l’intelligence créative en lui, ne souffre pas de lui. Et si l’égo n’a pas la conscience de l’esprit, il ne souffre pas de lui, sa volonté et son intelligence ne peuvent augmenter, car la vibration de l’énergie de l’esprit ne sert qu’à enregistrer au profit de l’âme, des expériences vécues par l’égo inconsciemment.

 

Mais si l’égo est conscient de l’esprit de sa puissance vibratoire en lui, la souffrance de l’égo créera avec le temps une certaine sensibilité à l’énergie, de sorte que l’homme éventuellement, lorsque son corps astral aura subit suffisamment de chocs  vibratoires, à cause des interférences de l’esprit, réagira à l’énergie et sa réaction sera suffisamment forte pour augmenter le taux vibratoire de son corps mental, créant ainsi son corps supramental, d’où il tirera la volonté et l’énergie de l’intelligence puissante de l’être conscient.

 

Tant que l’homme est inconscient, ses souffrances ne lui servent pas, elles servent à l’âme, mais dès qu’il se conscientise, ses souffrances sont réalisées dans le cadre de la pénétration de l’énergie en lui. Et cette réalisation le rend de plus en plus centrique, car il développe de plus en plus une grande intelligence et une grande volonté dont-il se servira pour mettre un terme à ces chocs vibratoires de l’esprit en lui, afin d’en arriver un jour à ne plus souffrir de rien.

 

Que l’homme conscient souffre d’interférences c’est normal, car l’énergie cosmique entre en lui et la pénétration de cette énergie augmente le taux vibratoire de ses corps, ce qui donne à cet homme de plus en plus une très grande sensibilité aux événements de la vie qui puisse l’affecter émotivement et mentalement.

 

Mais l’interférence est toujours injuste envers l’homme, car elle découle de son absence de libre arbitre. Et cette condition un jour, doit-être abolie afin que l’homme ne souffre plus, c’est-à-dire, qu’il soit libre. Être libre veux dire ne plus souffrir. Mais comment l’homme peut-il cesser de souffrir sur le plan matériel, lorsque l’on sait que l’homme souffre seulement dans la matière.

 

L’homme peut cesser de souffrir, s’il à découvert que la souffrance est amplifiée en lui, par l’émotion et la pensée. Et que si c’est deux éléments subjectifs étaient balancés, équilibrés, l’homme ne souffrirait pas, car il se serait pas prisonnier de ses pensées ou de ses émotions, qui créent la souffrance. Pourquoi es-impossible à l’esprit de pénétrer l’homme sans que ce dernier souffre ?

 

Parce que l’énergie de la lumière est tellement puissante et subtile, que lorsqu’elle pénètre les corps subtils et denses de l’homme, il se crée en lui un choc vibratoire, qui change la vibration de ses corps et rend l’homme par conséquent plus conscient. Mais le choc vibratoire n’est pas toujours suffisant pour changer le taux vibratoire chez l’homme, à moins que l’énergie s’enregistre, c’est-à-dire à moins que l’homme se rendre compte du travail qui se fait en lui. Il faut que l’homme s’aperçoive que le choc après la calmi a changé quelque chose en lui. Et il s’en aperçoit lorsqu’il réalise qu’il a plus facilement supporté le choc vibratoire émotivement et mentalement, qu’il aurait pu auparavant.

 

S’il réalise qu’il ne vibre plus ou presque plus à des incidents qui le faisaient auparavant vibrer, c’est une claire indication que la conscience grandit en lui, que la volonté et l’intelligence réelle grandissent, car sa résistance à l’interférence grandit. Puisque tout est énergie, l’égo qui se conscientise, apprend avec le temps à pouvoir passer par- dessus certains événements qui l’auraient dans des conditions similaires auparavant abattus.

 

Lorsque l’égo réalise qu’il a fait un pas en avant, il s’aperçoit de deux choses. Qu’il a plus de résistance émotive et mentale et qu’il peut voir plus clairement à travers ce qui lui arrive, car son intelligence s’en ligne avec l’intelligence de l’esprit, qui le fait avancer vers un état de conscience supramentale. Les interférences sont toujours créées selon nos faiblesses et elles nous attaquent toujours là, où nous sommes le plus vulnérables, le plus faibles. Mais elles servent aussi à r enforcir tout notre être, car bien que l’homme puisse dépasser ses faiblesses naturelles, ce qui le rend de plus en plus sur mental.

 

L’énergie r enforcit de plus en plus les corps subtils, jusqu’à ce que l’homme soit suffisamment dans l’énergie de l’esprit pour qu’il puisse s’en servir pour créer éventuellement. Tant que l’homme est dans la matière, il se doit de souffrir des interférences, car le monde de la lumière est opposé en polarité au monde matériel. Ce n’est que lorsque l’homme a pénétré le monde de l’éther qu’il a pouvoir sur la matière et n’est plus sujet aux interférences de l’esprit sur le plan matériel. Mais plus il avance vers son état suprême, plus il est libre des interférences, car moins elles ne l’affectent. Moins elles ont de pouvoir sur son émotif et son mental.

 

Il ne s’agit pas pour l’homme d’être au-delà des interférences qui font partie des lois de l’involution, mais de ne plus être affecté par elles, ceci est important. L’être sur mental développe de plus en plus son système nerveux à cause des chocs vibratoires créés par l’énergie de l’esprit qui rend son système nerveux de plus en plus actif, de plus en plus réactif. Ce changement de ton du système nerveux, provient de la réalisation de la part de l’être sur mental qu’il y a des forces intelligentes et actives dans sa vie qui ne peuvent être comprises que lorsque cet être communique avec elle ou les sent intérieurement.

 

C’est cette réalisation qui rend l’interférence plus pénible, car l’être sur mental voit une intelligence, une volonté derrière l’interférence et c’est cette conscience concrète, qui le rend de plus en plus actif au niveau de son système nerveux et qui lui donne l’intelligence et la volonté de se soustraire de ces interférences, afin de vivre sa vie en paix éventuellement. Mais l’homme à besoin de beaucoup de vigilance sur le plan matériel, car ce plan est difficile, mais surmontable par les plus forts et les plus robustes des êtres.

 

La loi d’interférence provient de la nécessité de faire évoluer l’homme. Si cette loi n’existait pas, l’homme ne pourrait évoluer car son corps astral, sa nature animale se rendraient maître de lui et l’homme éventuellement prendrait la voie la plus facile et cette voie le mènerait à la perte. Car il perdrait toute volonté et toute intelligence réelle car sa nature inférieure animale ou astrale réduirait sa vie aux plaisirs des sens. C’est justement c’est ce qui a causé la perte de l’Atlantide. La destruction fusion-lente et le déluge demeurent aujourd’hui gravé dans la mémoire de l’humanité.

 

Tant que l’homme demeure inconscient, les interférences ne sont pour lui que des événements dans sa vie, qui n’ont rien affaires avec des forces invisibles. Mais lorsqu’il sort de son inconscience, de son ignorance, il sait que des forces agissent derrière l’événement en créent les conditions et se sont ces forces qu’il doit apprendre à neutraliser, au fur et à mesure que ses corps subtils s’ajustent, se centres, il comprend de plus en plus, pourquoi telle ou telle chose se produise et change éventuellement les conditions qui lui ont donné naissance. Alors il ne souffre plus de cette chose, jusqu’à ce qu’il est fait de même pour tout ce qui lui crée une souffrance.

 

Mais l’esprit est vaste et le champ de vison de l’homme étroit, c’est pourquoi l’esprit à beau jeu, mais l’homme à le pouvoir de détruire le jeu de l’esprit, lorsqu’il a grandi en intelligence et en volonté. L’esprit derrière lui, crée l’interférence et à toujours une raison intelligente dans son action. Delà l’homme développe l’intelligence pour contre carré l’énergie de l’esprit. Il faut comprendre que mot l’esprit, veux dire ; énergie intelligente et que le passage de l’énergie est vibratoire, c’est pourquoi seul l’homme conscient comprend la réalité d’une vibration.

 

Les interférences coïncident avec des cycles planétaires, car les planètes sont de vastes réseaux d’énergies radiantes dont se sert l’esprit, pour faire interférence avec l’homme. Lorsque l’homme entre dans un cycle quelconque, il s’aperçoit que tout va mal pour lui, car ces énergies radiantes affectent certains de ses corps et cette affectation se communique à l’humanité, de sorte que tous les hommes dont la vibration coïncide avec ce cycle, sont affectés chacun selon sa mesure.

 

Mais l’homme doit se libérer de ces lois mécaniques et la seule façon c’est d’être dans l’intelligence et la volonté réelle, car à ce stage, sa volonté aura réduit les conditions qui le font souffrir et l’intelligence éclairera ces conditions afin que l’homme sache se protéger dorénavant de ces interférences. Tant que l’homme n’a pas accès à l’éther, c’est-à-dire, à cette dimension de l’énergie qui lui permet de comprendre parfaitement les lois de la lumière, il est en stage d’apprentissages sur le plan matériel.

 

Et les interférences coïncident avec cet apprentissage, lorsqu’il se conscientise. Si l’homme se protège trop de ces interférences alors qu’il est inconscient, il évoluera très lentement, par exemple, la richesse rend difficile le travail d’évolution sur l’égo, car elle peut tout contrôler par l’argent. L’argent achète tout, mais si l’homme n’a pas cette couverture et qu’il se conscientise, les interférences deviennent plus exigeantes de sa vie, car il ne peut pas facilement s’en dégager, car la richesse ne peut lui servir de couverture. Et même s’il n’a pas de problème psychologique, les interférences peuvent facilement s’abattent sur lui et le faire souffrir, car sa conscience éveillée souffre d’une volonté et d’une intelligence supérieure à la sienne, jusqu’au jour, où il est en harmonie totale avec ces deux principes et ne souffre plus.

 

Les lois planétaires sont rigides, car elles découlent de la perfection de l’esprit qui les anime et l’homme, lui important tel qu’il est, en souffre, car ces lois représentent la mesure de son évolution possible dans un temps donné. Les lois planétaires sont inverses à l’équilibre entre l’homme et la nature, car elles sont créées pour faire évoluer l’homme, afin qu’un jour il devient maître de la nature. C’est pourquoi bien que les sciences ésotériques qui les étudient soit valables, elles n’ont d’autre but que de les démontrer, mais l’homme doit aller au-delà de la démonstration, pour entrer dans la maîtrise de ces forces, qui constituent le mur entre la joie de la vie et la souffrance de la vie.

 

L’homme doit seul être la force qui détermine son évolution. Mais avant qu’il puisse atteindre ce stage, il doit avoir un contrôle total sur son corps émotionnel et voir parfaitement au travers les illusions de son mental inférieur. Les lois planétaires dissimulent le vrai pouvoir de l’homme, car l’énergie spirituelle dont elles sont composées provient de la densité de l’esprit. Et lorsque l’esprit devient trop dense, il n’a plus d’amour, c’est-à-dire, qu’il ne réfléchit plus la perfection de la lumière, mais la perfection de la matière.

 

Et tous les systèmes sidéraux réfléchissent la perfection de la matière de l’esprit. C’est pourquoi l’homme est prisonnier de ces forces et c’est pourquoi l’esprit dans l’homme n’a pas de choix, c’est-à-dire qu’il est forcé de créer chez l’homme des interférences, car l’esprit dans la lumière, doit passer par les systèmes sidéraux pour atteindre l’homme.

 

Mais en créant des interférences dans la vie de l’homme, ils le libèrent, pourvue que ce dernier soit conscient de lui et de l’amour qu’il a pour lui. Une des grandes raisons pour laquelle l’homme souffre des influences planétaires, ce qu’il résulte en interférence pour lui, provient du fait que ces plans subtils inférieurs sont faits de matière sidérale, de matière systémique plus dense que la lumière.

 

C’est pourquoi l’égo de l’homme, le plus haut plan de l’homme inconscient malgré son intelligence ne peut être dans l’intelligence pure, tant qu’il n’a pas été transmuté en esprit, c’est-à-dire, en énergie de lumière pure. Alors l’homme étant fait de matière systémique est obligé de subir les pulsations cycliques du système où il évolue et l’esprit en lui qui doit grandir, afin qu’il devienne lumière, est forcé de faire vibrer ses corps inférieurs afin que l’homme subisse une augmentation du taux vibratoire de ses corps subtils, pour être de la lumière, c’est-à-dire, de l’éther de la lumière.

 

L’ego doit devenir esprit, c’est-à-dire, supramental afin d’être parfaitement libre des radiations de l’esprit plus dense des planètes. Et tant que l’égo n’est pas esprit, peu de lumière entre en lui, car sa matière ne permet pas son passage. Le passage de la lumière à travers l’égo, doit se faire par le biais de l’âme, tant que le mortel ne sera pas fusionné avec la lumière. C’est pourquoi l’on dit que l’homme souffre de son âme, car au lieu d’être dans la lumière, il doit être alimenté par l’énergie de l’âme et cette situation est la raison pour laquelle l’homme n’a pas de libre arbitre. Si l’homme était lumière, qu’il y aurait fusion entre l’âme et la lumière, l’égo serait esprit et l’homme libre.

 

Mais comme l’égo de l’homme n’est pas esprit, l’énergie de l’âme est le lien temporaire entre l’homme et la lumière. Et ce lien doit être détruit, afin que l’égo esprit puisse se servir de l’énergie de l’âme et transmuter la matière, car la matière est faîte d’énergie qui engendre dans l’homme l’abîme entre l’esprit et la lumière. Et cet abîme est la mort. C’est pourquoi l’homme doit immortaliser son être, c’est-à-dire, maintenir une continuité dans sa conscience créative, car la conscience créative est la lumière ayant résolu le problème de l’influence systémique sur l’homme.

 

C’est pourquoi vu du point de vue cosmique, l’immortalité est la condition essentielle de toute évolution planétaire, car elle représente la descendre de la lumière sur tous les plans de la matière systémique, l’homme inclut. Et sans l’homme cette descendre est impossible car la matière est trop parfaite dans sa densité. Seul l’homme peut aider à l’évolution, à la descente de l’énergie sur les plans inférieurs, car lui seul est fait en potentiel d’énergie inférieure ou systémique et d’énergie supérieure lorsque l’égo est devenu esprit. Le pont entre la lumière et la matière, c’est l’homme supramental.

 

Voilà pourquoi les interférences que l’homme conscient vit sont importantes. Elles créent la souffrance, mais un jour l’homme est perfectionné et la souffrance due aux interférences disparaît. L’évolution commence et la vie grandit sur la terre, la vie réelle, la vie de la terre paradisiaque. Mais nous avons tendances à mesurer tout en termes de temps et ceci nous décourage, car justement nous nous alimentons d’émotivité. Car dans la conscience du temps, il y a de l’émotion, l’homme ne doit pas s’occuper de demain, il doit vivre consciemment aujourd’hui de plus en plus, demain viendra dans son temps.

 

Les interférences sapent l’énergie, les forces émotives et mentales de l’homme conscient, car elles fatiguent son ego, car son ego est encore dans la matière inférieure de l’esprit. Mais dès qu’il entre dans l’esprit, sa fatigue se lève peu à peu, car il n’est plus dans la souffrance de l’interférence, car le mental et l’émotif sont plus stable, c’est-à-dire que l’esprit de l’homme est plus grand que son mental et son émotif.

 

Cette fatigue augmente la résistance émotive et mentale de l’homme et lui permet de s’entreprendre, c’est-à-dire de se découvrir dans ses faiblesses émotives et mentales. Augmentant la résistance de son système nerveux, ce qui le bénéficie sur le plan de l’équilibre des forces vitales, lui permettant de vivre une bonne santé.

 

Les interférences ont toujours un but et l’homme doit en connaître le but, afin de voir pourquoi elles lui sont destinées. Lorsqu’il le comprend, il augmente son pouvoir interne, c’est-à-dire, qu’il perçoit de plus en plus. Plus il perçoit, plus il vit réellement et plus il conscientise sa conscience, de sorte qu’avec le temps, il se sent immunisé contre les retombés de notre civilisation, qui détruit l’homme aux profits des forces mécaniques gigantesques qui violent la vie et la planète.

 

L’homme qui se conscientise entre dans un chemin dont l’issu final est l’éther. Il sait qu’il n’a plus rien à faire sur la planète, qui soit simplement matériel. Il sait que la vie de demain est l’aboutissement d’une longue période d’involution et de progression mécanique qui doit ouvrir sur les mystères de l’homme et de la vie. Sans cette vision la vie matérielle n’a plus de raison d’être, car ses illusions sont déjà dépassées. Et lorsque l’homme ne vit plus d’illusion, il ne peut que se nourrir de ce que lui offre l’esprit, la lumière. Le trajet entre la vie matérielle et la mort s’efface et l’homme n’envisage plus rien qui soit limité par les forces planétaires.

 

Les interférences que subit l’homme conscient défit sa raison au début, car il a l’impression que la conscience devrait lui faciliter la tâche, lui faire le cadeau gratuit de l’intelligence de la vie et ceci fait partie de ses illusions spirituelles, de son ignorance, car il ne réalise pas que l’intelligence de la lumière ne peut grandir et se raffiner en lui, qu’avec le changement vibratoire du canal qui sert de passage à cette énergie, puisque tout est énergie et les lois d’énergie sont des lois d’énergie et non des lois de désir.

 

L’énergie ne peut passer là où la matière subtile est trop dense. Mais l’homme qui se conscientise à, à la fois les pieds dans l’égo et à la fois dans l’esprit. Le peu d’esprit qu’il a, c’est-à-dire, de compréhension, lui donne l’impression que tout devrait lui tomber rôti dans le bec et ceci est impossible, car justement il doit créer tout ce qu’il veut, il doit en créer les conditions et tant qu’il ne peut créer les conditions, il est sujet aux conditions planétaires de son plan de vie et ceci l’amène à détruire en lui la servitude par la souffrance des interférences. On n’a rien, pour rien. La vie n’a rien à faire avec les livres que l’on a lues.

 

L’homme inconscient ne peut être heureux dans sa vie matérielle, que s’il a augmenté le pouvoir de son intelligence et de sa volonté. Ce n’est plus pour lui une question de désir égocentrique, mais de désir centrique et le désir centrique vient avec le pouvoir de l’intelligence et de la volonté. Que l’homme conscient gueule contre la conscience ou l’esprit qui interfère dans sa vie, ne changera rien d’autre que le taux vibratoire de ses corps et c’est justement ce qui doit se passer en lui. Tout le reste est un défoulement de l’égo. Ensuite la vibration change, les événements se tassent, se calment un peu plus d’ordre entre dans la vie et l’on continu à évoluer jusqu’à ce que l’on soit suffisamment centrique pour ne plus souffrir des interférences.

 

L’homme de demain comprendra beaucoup de choses, concernant le pouvoir de l’esprit sur la matière de l’ego et il réalisera que lorsque l’on entre dans l’esprit, on est plus sujet à rationaliser la vie mais, à la vivre de façon robuste mentalement et émotivement. Mais l’homme à une tendance presque naturelle à se décourager, car il n’a pas suffisamment de résistance au choc de l’interférence. Et rien ne peut l’aider dans cette situation que l’expérience, car l’expérience engendre en lui. Une autre vibration, on rationalise la douleur car elle est anormale, mais nous somme anormaux, alors nous devons la dépasser afin d’être normaux, c’est-à-dire conscient.

 

Si l’homme souffre trop d’interférence, qu’il réajuste ses activités et il verra les interférences disparaître, qu’il applique la loi de l’intelligence et de la volonté. Mais nous vivons notre vie selon notre corps de désir et ne pouvons la vivre selon l’intelligence en nous, de là les interférences. Si l’homme vivait sa vie selon l’intelligence, il y éviterait les interférences, car il n’aurait plus à les subir pour transmuter sa matière inférieure. Combien de gens disent, j’en ai marre de la conscience, je veux la paix, ils ont raison, mais ils ne peuvent pas voir que ce qui se fait aujourd’hui en eux qui est douloureux, est le pain qu’ils mangeront demain, aujourd’hui il ne voit que la pâte blanche et salée. S’il en est ainsi qu’il cesse de chercher dans cette direction, qu’ils s’abrutissent, mais non, ils ne peuvent plus, pourquoi ?

 

Car ils peuvent retourner en arrière. Mais ils peuvent gueuler et qu'ils gueulent, c’est bon pour le mental et l’émotif, s’en les renforci, tant qu’on n’a pas gueulé ont n’a pas compris, on est encore trop spirituel. Lorsque je dis ceci, je dis beaucoup plus, car l’homme ne peut réaliser l’effet de sa volonté sur sa vie, que lorsqu’il est devenu suffisamment intelligent pour comprendre que la vie est une force, qu’il doit arracher à la conscience et je dis arracher dans le sens de la volonté.

 

La conscience ne donne rien à l’homme, à moins que ce dernier puisse le lui arracher. Autant la spiritualité est un élixir pour l’égo, autant la volonté intelligente est un pouvoir pour l’égo qui se conscientise. L’élixir endort, tue l’homme, le pouvoir de la volonté intelligente lui donne sa liberté.

 

L’interférence est un couteau à deux tranchants, elle vous nuit ou elle vous sert. Elle vous nuit si vous ne développez pas la volonté intelligente et elle vous sert si vous le faîte. Il y a dans tous les hommes une mémoire, une partie d’eux-mêmes, qui n’est pas d’eux- mêmes et c’est justement cette partie que l’homme doit abolir en lui, car cette mémoire retarde le développement de sa volonté intelligente, car elle lui coupe le souffle, elle lui enlève la capacité d’agir totalement à partir de lui-même.

 

Seul les interférences comprises et réalisées, qui aiguise éventuellement les nerfs, le système nerveux, peuvent permettre à l’homme de tuer cette mémoire qui contient du sentiment, de l’émotion, deux éléments qui empêchent l’homme d’être volontairement intelligent. Ceci est tellement réel que vous pouvez facilement vous souvenir d’événements dans votre vie ou une action fut bloquée, empêcher, parce que votre mémoire vous rapporta subitement dans un éclair de temps, un sentiment quelconque. La mémoire de ce sentiment fut suffisamment puissante pour bloquer votre action. C’est pourquoi les interférences nous servent consciemment, car elles créent une tension entre ce que nous voulons, la paix et les conditions de vie présente.

 

Plus nous sommes conscients, sensibles à l’intelligence et à la volonté derrière l’énergie, plus nous développons cette volonté intelligente en nous, plus nous allons vers notre paix de vie, vers ce que nous recherchons et avons de plus en plus besoin, plus nous avançons dans la conscience et plus nous approchons de la fin de la lutte. Comprendre que l’homme n’est pas un outil de la création est très important.

 

Comprendre que l’homme n’est pas un être passif et réaliser que l’homme est un potentiel, un des grands maîtres des forces de la nature, est une nécessité. Mais cette réalisation ne nous vient qu’au fur et à mesure que la vibration de nos éthers change selon notre volonté intelligente de corriger les conditions de notre vie qui font de nous des esclaves de l’homme et de la nature. Autant la vie inconsciente est exigeante de l’homme, telle que nous le réalisons dans nos épreuves vécues dans l’ignorance, autant l’homme à le pouvoir d’exiger de la vie, lorsqu’il sort de son ignorance.

 

Les interférences nous servent à construire nos centres d’énergie, afin que nous puissions éventuellement, selon notre volonté intelligente les éliminer. L’être humain à deux faiblesses principales en lui. La première, celle qu’il l’empêche de réaliser qu’il peut faire ce qu’il veut dans la vie et la deuxième l’incapacité de réaliser qu’il doit être le seul à décider ce qu’il veut faire.

 

Et de ces deux faiblesses qui provient de son lien social avec l’homme qui lui influe ces opinions et l’empêchent de se réaliser en tant qu’être autonome, il se développe une dépendance, une soumission à l’extérieur et cette dépendance commence dans le berceau et demeure avec lui, tant qu’il n’est pas pénétré par des forces indépendantes de la vie humaine subjectives. Des forces tellement puissantes que l’homme qui en est maître, devient maître, c’est-à-dire libre de tout pouvoir sur lui qui ne vient pas de lui.

 

Les interférences doivent être comprises dans ce cadre et ce n’est qu’à nous de les transformer à notre avantage, en construisant des corps suffisamment puissants pour que ces mêmes influences ne soient plus capables de ternir notre vie. C’est pourquoi tout ce qui vient à l’homme et le nuit, doit être éliminé de sa vie, par lui-même. Mais ceci implique qu’il sache ce qui lui nuit et sache comment l’éliminer. C’est ici que se situe le combat entre l’homme ancien et l’homme nouveau. Et tant que l’homme ancien vit en nous, nous ne pouvons être bien dans notre peau, car l’homme ancien n’est pas nous, mais ce que les autres ont faits de nous. Ce que nous croyons être et ce que nous croyons êtres de par notre passé doit être abolit.

 

Plus l’homme vit de l’énergie, plus il est libre, mais plus il est seul, c’est-à-dire plus il est bien, car il n’a plus besoin de support extérieur, car il sait que tout ce qui est extérieur, lui cause une déception, une tension, car ce qui est de l’extérieur n’est pas dans la même énergie que lui. Il s’aperçoit qu’il ne peut vivre qu’avec ceux qui sont de la même énergie, car ce n’est qu’avec ceux qu’il se sent réellement alaise, qu’il peut vivre. Et plus les hommes perfectionnent leurs principes, plus leurs relations sont parfaites. Mais vivre de l’énergie requière une grande conscience de l’égo, une grande conscience de l’émotion, une grande conscience du vital.

 

 

Une grande conscience, car l’énergie éveille l’homme à lui-même, elle lui fait réaliser dans l’instant que ce n’est plus l’ego qui vit, mais l’esprit de l’égo qui attire la vie dans l’égo, l’émotif et le vital. La nature humaine est transformée, le principe animal n’est plus permanent, il a été remplacé par le principe de l’esprit. Et lorsque le principe de l’esprit est établi dans l’homme, il réalise déjà qu’il n’est plus totalement sur le plan matériel et qu’une partie de lui est dans l’éther et c’est à partir de ce moment dans sa vie, qu’il sait avec certitude qu’il est immortel.

 

Lorsque l’homme commence à sentir en lui l’immortalité, il s’aperçoit qu’il ne peut être attaché à rien qui soit de l’expérience du plan matériel. Attaché dans ce sens, que tout ce qui est de l’expérience matérielle, n’est que temporaire et ne sert que temporairement. L’immortel n’a de yeux que pour la lumière d’un autre plan et ses yeux matériels ne voient que ce qu’il doit voir pour son bien être temporaire, ni plus, ni moins.

 

C’est pourquoi comprendre la nature et les raisons des interférences en relation avec soi-même, est essentiel, car c’est là que l’homme découvre son potentiel supramental sur la matière mentale inférieure. Et son potentiel supramental sur la matière émotive inférieure et tant qu’il n’est pas dans cette conscience supramentale et qu’il ne peut pas voir la différence entre l’état supramental et l’état mental émotif inférieur, il ne peut comprendre rien parfaitement.

 

L’ego de l’homme est fait de matière inférieure et son émotif aussi. Ces deux plans d’énergie inférieurs constituent la cloison entre lui et sa conscience supérieure. C’est pourquoi la conscience des interférences et la compréhension de les dépasser émotivement et mentalement, par l’intelligence et la volonté réelle, augmente dans l’homme son intérêt vital, c’est-à-dire sa capacité de découvrir ce qu’il lui faut dans la vie pour être bien.

 

L’intérêt vital est le résultat net de cet accroissement de conscience, créés par les interférences et qui résultent dans une plus grande confrontation entre la volonté humaine et cosmique, l’intelligence humaine et cosmique, jusqu’à ce qu’il y est équilibre entre les deux. Et pour qu’il y est équilibre entre les forces dans l’homme et les corps qui le constituent, il faut qu’il apprenne à corriger constamment sa ligne de vie, jusqu’à ce qu’elle soit égale à ce qu’il veut, jusqu’à ce qu’elle soit conforme à ce qu’il veut.

 

L’homme doit comprendre les choses de par sa propre vision et ne plus être soumit pour quelque raison que ce soit à des influences extérieures, créées par la vie qui passe chez les êtres inconscients ou les systèmes qu’il crée. Ceci semble impossible à l’homme inconscient de prime à abord, car on ne peut pas voir ce que l’on ne voit pas, mais dès que l’on commence à voir, on voit bien, que c’est en voyant qu’on voit. Si un homme qui voit, dit à un homme qui commence à voir, il est inévitable que cet homme verra, car lorsque l’on commence à voir, on commence à être intelligent.

 

La volonté vient ensuite à cause de la souffrance que créent les interférences conscientisées. C’est là que l’homme voit et que ce qu’il voit est universel et appartient à tous les hommes. Mais peu d’homme verront, car pour voir, il faut déjà être grand dans l’âme et les hommes ne sont pas très grands dans l’âme. L’ego chez l’homme est puissant et l’âme faible. Un homme qui commence à voir est déjà plus heureux qu’il ne l’était, car il ne souffre plus autant des ténèbres de la vie de l’ignorance. Il peut souffrir de conscience, du travail qui se fait en lui, mais ceci ne dure qu’un peu de temps.

 

C. 20A L’ARGENT

                

L’argent c’est vieux comme le monde, mais l’homme n’a jamais su s’en servir. La preuve il là mené au pouvoir de l’homme sur l’homme. L’argent en lui-même, n’est que matière, mais sa représentation est énergétique et c’est au niveau de sa représentation que tous les hommes sont esclaves et rendent les autres esclaves. L’argent ne devrait que servir les intérêts personnels de l’homme, intérêt lié à son intérêt vital, mais l’homme ne connaît pas son intérêt vital, à cause de son ego insécure. Alors toute manipulation d’argent par l’égo inconscient, engendre l’insécurité, car l’ego est sans sécurité matériel, s’il ne cherche pas à s’accaparer de l’argent.

 

Le cercle vicieux est tellement puissant que l’argent existera sur la terre, dans une forme ou une autre, tant que l’homme n’aura pas passé à l’éthérique. Le pouvoir psychologique de l’argent est tellement puissant qu’un homme sans argent, se voit incapable de vivre sur la terre. Car toute la terre est divisée en région contrôlée par l’argent.

 

Alors celui qui n’a pas d’argent doit travailler pour celui qui en a, afin d’avoir accès à une parcelle de cette région. Ainsi c’est le cas du loyer. Mais le loyer n’est pas la seule nécessité que crée l’empire de l’argent, le vêtement et la nourriture, sont deux autres aspects aussi importants. Alors l’homme sur la terre est obligé de faire de l’argent pour évoluer sur ce globe, sinon il meurt, à moins d’être aidé bénévolement et alors il meurt aussi mais dans sa personnalité, car elle ne lui sert plus. Nous, nous intéressons au problème de l’argent vis à vis l’homme qui va vers la conscience. Car cet homme aussi comme tous les hommes ont besoin d’argent. Mais il se produit un phénomène particulier chez cet homme.

 

Lorsqu’il entre dans la phase spirituelle de sa conscience, l’argent n’est plus aussi important pour lui, car il l’a remplacé par une autre valeur, la spiritualité. Ceci est bon dans ce sens, qu’il met moins d’importance sur le matériel et la sécurité du matériel. Mais il fait le même parallèle dans la spiritualité qu’il faisait avec l’argent dans son état nouveau.

 

Là, où l’argent était auparavant, un avant tout, maintenant la spiritualité est un avant tout et il perd alors l’argent qu’il avait, parce que son attention a été déplacée à un autre niveau, mais il s’aperçoit très vite que la spiritualité ne peut le loger, le vêtir ou le nourrir, à moins qu’il ne rende un quelconque service à la spiritualité, comme dans le cas des religieux, des prêtres ou des sectarismes qui se lient corps et âme à une forme ou une autre des religions ou de la philosophie.

 

Mais un certain nombre d’année s’écoule pendant lesquelles cet homme souffre d’argent, car il a remplacé les lois de l’argent par les lois de la spiritualité. Un jour il se réveille et s’aperçoit que la spiritualité non plus ne peut lui offrir une sécurité véritable, car elle aussi est forme. Alors il se décourage, il cherche ses vibrations, sa personnalité étant maintenant altérée, car il n’est plus dans le monde matériel, mais spirituel, il se retrouve avec rien devant lui, qui lui soit vraiment profitable, car il a rendu au diable sa part et à Dieu la sienne. Lui il ne lui reste plus rien. Il est maintenant pauvre.

 

Mais lorsqu’il se conscientise un peu plus, qu’il sort de ses illusions spirituelles, il s’aperçoit que c’est réellement maintenant, qu’il peut faire quelque chose de valable avec l’argent, c’est-à-dire, l’utiliser dans le seul but de se relaxer des tensions de la vie. Qu’il commence à comprendre dans le contexte de son évolution intérieur.

Lorsque l’homme se conscientise et que ses corps lui donnent une sensibilité de plus en plus grande, viens le jour, où selon les conditions de la planète et de son mode de vie, cet homme apprend à se servir de son intelligence et de sa volonté, pour se servir de l’argent, afin que sa vie correspondre vibratoirement avec ce qu’il a de besoin, afin de la vivre consciemment sur tous les plans, mental, émotionnel et vital et matériel. Mais il doit se servir de l’argent de plus en plus, de façon créative, c’est-à-dire, selon la vibration de sa conscience créative.

 

L’argent n’a plus alors de pouvoir sur lui, car il la mise à son service. Étant alors conscient de la vie de plus en plus réellement, il peut se servir de l’argent de plus en plus réellement, c’est-à-dire, selon le besoin de sa vie et non selon les désirs sans fin de son ego. L’argent devient alors un outil puissant dont il se sert, pour mettre de l’ordre, c’est-à-dire harmoniser sa vie matérielle, jusqu’il n’a plus de problème intérieur. Il est bien dans sa peau mentale et émotive et delà il s’arrange pour être bien dans sa dernière peau, son corps matériel. Tout dans sa vie est en ordre, l’esprit et la matière. L’homme est bien et son bien-être est assuré, car l’intérieur ne peut plus régresser et l’extérieur est sous la surveillance de l’intelligence et de la volonté créative en lui.

 

Lorsque l’homme est conscient, ce n’est plus l’argent qui est important, mais sa façon créative de l’utiliser. Et s’il met son intelligence créative en charge de sa vie matérielle, il pourra vivre selon ce qu’il a de besoin et ses enfants, sa famille, son entourage pourront bénéficier de ce qu’il aura créé pour eux, c’est-à-dire, un cadre matériel ou ils pourront mieux et plus facilement exploiter les talents, les attitudes qu’ils ont et qu’ils doivent leurs servir à canaliser leurs propres énergies créatives.

 

L’argent est mal compris par l’homme, car il ne se comprend pas lui-même. L’homme qui se connaît se comprend et comprend tout ce qu’il fait et sait ce qu’il fait est bon pour lui-même et les siens, car ce qu’il fait convient à l’esprit en lui, il ne souffre pas de la forme de la valeur de l’argent. Mais tant que sa vie intérieure n’est pas pleinement développée selon les lois de l’esprit, l’esprit ne peut être au service de l’homme matériellement, car le matériel doit être comme tout le reste au service de l’esprit de l’intelligence créative.  

 

L’argent appartient au père de l’homme, c’est-à-dire, qu’il est régi sur la terre par les forces des ténèbres et pour qu’il soit régit par l’esprit, il faut que l’homme, son ego en soit totalement détaché sure le plan de la forme. Mais être détaché de la forme de l’argent, ne veut pas dire être niaiseux. Lorsque l’homme conscientisé est libre de la forme de l’argent, le lien avec le père, n’est plus possible, car l’homme est dans l’esprit et l’esprit convient de tout, c’est-à-dire, que l’esprit apporte vers l’homme ce qu’il a de besoin, afin qu’il s’occupe à autre chose que le problème résultant du pouvoir de l’argent sur l’homme et de l’esclavage de l’homme, à la forme de l’argent.

 

L’homme conscient apprend avec le temps à ne pas s’inquiéter d’argent, car il réalise que la pénurie d’argent, s’il y a n’est simplement qu’une interférence afin qu’il développe la conscience de l’esprit en lui qui veille sur son bien-être, mais qui doit descendre et ajuster ses corps afin que sa vie matérielle soit harmonisée avec lui plus tard. Beaucoup d’êtres spirituels font fausse route avec l’expérience, avec l’argent, car ils identifient l’argent aux puissances du mal.

 

Ceci est vrai en principe, l’homme est inconscient et fait de l’argent, un outil aux service des forces retardataires. Mais il doit aussi comprendre que le bien-être matériel est une condition de la vie et que cette condition peut facilement lui échapper s’il ne réalise pas que son ardeur spirituelle est une étape temporaire de sa vie qui mènera une vision plus complète des choses lorsque l’intelligence créative et la volonté créative seront manifestées en lui. Et son expérience spirituelle, si elle déborde sur les vastes plaines de l’intelligence créative, se verra transformer afin de produire la grande maturité supramentale de l’homme, où tout même l’argent est vu d’un angle purement créatif et essentiel à la condition présente de vie sur terre. L’argent en tant qu’outil, le développement complexe de son mouvement et de son dynamiste reflète une grande intelligence chez l’homme, mais la passion avec laquelle l'homme cherche à se l’approprier, constitue un des graves dangers que court l’homme, car l’argent peut servir et détruire. S’il sert ce n’est plus l’homme qui en souffre mais l’homme qui en bénéficie, mais s’il détruit, c’est l’homme qui en est victime.

 

La planète est vaste et l’argent n’est pas disponible à tous, de sorte que de grande pression s’exerce dans le monde pour son contrôle. Mais l’argent ne peut se contrôler, car il n’appartient pas à l’homme mais au père de l’homme. Mais l’homme ne le réalise pas et croit qu’il peut le contrôler. Ceci crée chez l’homme, l’angoisse qui se rattache à l’argent, que vous soyez riche ou pauvre. Car là on ne retrouve pas d’esprit, il n’y a que nature humaine et la nature humaine ne peut pas elle-même, même si ses intentions sont bonnes, contrôler ce qui est sous le contrôle voilé, mais évident du pair de l’homme.

 

L’argent engendre à cause de la vibration qui lui est rattaché, un peu de peine, lorsqu’il diminue, car il est piégé, c’est-à-dire qu’il est absorber par une chose matérielle et l’homme sait qu’après cette chose matérielle, il y en aura d’autre et d’autre et ceci crée dans l’homme une angoisse, car il sait alors qu’il devra continuer à travailler pour faire de l’argent, lorsqu’en fin, l’homme ne doit pas travailler, mais créer. C’est pourquoi il y a toujours de la tristesse rattachée à l’argent, après la joie qu’il procure à l’acquisition.

 

C’est pourquoi l’homme qui se conscientise entre dans l’intelligence créative et réalise que sa vie matérielle, son intérêt vital est directement le produit de sa capacité de se servir de l’argent créativement, afin qu’un jour, il puisse travailler créativement et ainsi faire de l’argent créativement, pour construire de plus en plus un environnement matériel fixe et sous son contrôle créatif.

 

Lorsque l’homme est suffisamment dans la conscience créative, il s’aperçoit que l’argent est puissamment lié à des interférences qui servent à élever son niveau de conscience et qu’une fois cette conscience élevée, le problème humain de l’argent n’existe plus, car l’intelligence dirige créativement l’homme, il s’occupe d’harmoniser son matériel avec son intérieur volontaire et intelligent. Si l’homme se servait de l’argent créativement, il n’y aurait pas de pauvreté sur la terre. Car l’intelligence créative est infini et créerait un équilibre parmi tous les hommes. Mais ceci est impossible aujourd’hui, car les hommes de la terre font partie du cycle d’involution, c’est-à-dire, du cycle ou l’égo est maître et non la lumière.

 

L’homme conscient par contre réalise rapidement l’illusion de l’argent, mais il doit aussi réaliser l’illusion de l’illusion de l’argent. Et à partir de ce moment qu’il commence à se servir créativement de l’argent et que ces liens avec les êtres conscients, ne sont plus une question d’argent, mais une question de conscience. L’argent alors ne divise plus et ne crée plus d’envie, mais aide à former une base solide pour une vie matérielle solide, afin que l’être conscient, puisse s’occuper à vivre plutôt que à travailler à la sueur de son front pour vivre.

 

Tant que l’homme conscient travail pour faire de l’argent, le travail doit-être à sa vibration, car l’harmonie doit exister entre la qualité du travail et sa rémunération, car sans cela, l’homme ne fait qu’un travail machinalement et ne peut l’aimer. Et si l’homme n’aime pas son travail, il ne peut aimer l’argent qu’il fait de son travail, car il n’y a plus de richesse véritable dans son argent, il n’y a qu’un pouvoir d’achat qui disparaît avec l’achat de la tristesse rattachée à l’argent et la fausse joie après l’acquisition qui ne dure qu’un moment, tout est vibratoire dans la vie et tout doit être en harmonie vibratoire, car tout fait partie de la vie, mais si la vie n’est pas consciente ceci ne peut être compris

 

L’argent est comme l’eau de la rivière, c'est l'homme qui la pollue, mais si l’homme est propre, l’eau est propre et sert l’homme. On a toujours tendance à blâmer l’objet pour ne pas attaquer le sujet et c’est faux, car c’est le sujet qui défavorise l’objet. Il y a des êtres spirituels qui sont les premiers à dénigrer spirituellement contre la matière représentative de l’argent et ils ne réalisent pas que se sont eux-mêmes comme tant d’autres qui ne comprennent pas le rôle et la fonction de l’esprit, à l’intérieur de la forme de l’argent.

 

Et c’est cette ignorance que l’on voudrait que des êtres se dévouent pour rien gratuitement, quotidiennement pour eux, parce que justement, ils sont inconscients de leurs illusions qui découlent du fait qu’eux-mêmes polluent la valeur représentative de l’argent, car ils sont liés à la forme de celui-ci. Ça va loin l’illusion de la forme, et la plus grande, la plus puissante, elle est liée à l’argent.

 

Tant que l’homme conscient ne se libérera pas de l’illusion de la forme, vis à vis l’argent, il sera incapable de s’en servir créativement, car il croira que l’argent est important, lorsqu’en fait l’argent est nécessaire et delà tire son esprit. Car il y a de l’esprit dans l’argent et l’homme ne connaît pas l’esprit de l’argent, car il ne connaît pas son propre esprit. Et pour comprendre l’esprit de quelque chose, il faut être soi-même dans l’esprit.

 

Si l’on veut comprendre l’esprit d’un soulier, d’un pantalon, d’une auto, d’une maison, d’un travail, il faut être dans l’esprit, car l’esprit connaît et c’est l’esprit de tout, de l’atome ou de l’argent, du soulier ou du mariage. Tout doit-être comprit selon l’esprit, pour bien vivre et vivre selon les lois de l’esprit. Et il en est ainsi de l’argent. Ce fameux argent dégonfle tout le monde, car tout le monde est dégonflé.

 

Il n’y a plus d’esprit dans l’homme, seulement de l’égo. Lorsque l’homme conscient comprend les lois de l’esprit, car l’intelligence créative éclair son ego, l’argent n’est plus un problème spirituel pour lui, car il n’est plus sur l’impression spirituel qui ne comprend pas le côté et la fonction de l’argent dans le cadre de la civilisation présente. L’identité spirituelle de l’homme est une poussée de l’imagination vers une condition imaginaire de l’homme, condition imaginaire, car elle ne coïncide pas avec le réel, mais le sentiment que l’on a du réel, et qui provient de notre être émotif, dont la spiritualité est la qualité. Le réel est saisissable par l’intelligence de l’esprit et non par le sentiment spirituel de l’homme inconscient.

 

Tant que l’être spirituel dans l’homme ne sait pas s’enligner avec l’intelligence supramentale en lui, son attitude envers l’argent ne peut être clarifiée, car son sentiment spirituel retardera cette clarification. C’est pourquoi dans l’expérience de l’être spirituel, il y a une période de vie, où l’homme vit une vie plutôt misérable, car son astralité spirituelle lui a enlevé la force nécessaire dont il a de besoin pour sortir dans le monde et faire de l’argent.

 

La pauvreté temporaire sert à spiritualiser l’homme tant qu’il a suffisamment été humilié dans sa station d’homme et qu’il a réalisé par lui-même qu’il a besoin de vivre et d’apprécier les bonnes choses du monde matériel pour son bien-être matériel. Mais l’homme spirituel ne peut comprendre son illusion, tant qu’il n’est pas sorti de par sa propre expérience. L’intelligence créative n’en a rien affaire avec le sentiment spirituel de l’homme contre l’argent, c’est son illusion et il doit le dépasser.

 

Tant que l’homme est sur le plan matériel, il doit vivre à l’intérieur des lois planétaire qui régisse l’argent. C’est sa conscience qui lui permet de ne pas être esclave de la forme de l’argent et de s’en servir afin de vivre convenablement. Vivre convenablement veux dire, vivre selon un certain ordre. Et cet ordre est déterminé par son intelligence créative et non par l’ego. Lorsque l’ego est en harmonie vibratoire avec l’intelligence créative, l’ego se sert créativement de l’argent et engendre de bonne vibration dans son milieu, car il n’est plus rattaché à l’argent.

 

Un homme conscient n’est pas attaché à rien, car le lien astral sur la forme a été rompu, ce qui lui donne une liberté totale d’action vis à vis n’importe quelle forme, quelle que soit la forme. Il est là le principe de l’intelligence créative en action. Puisque l’intelligence créative est au-delà de la forme, il est évident que l’homme conscientisé est au-delà de la forme qu’il ne peut en être prisonnier. Alors seulement peut-elle lui servir, c’est ce que doivent comprendre les hommes inconscients, matérialistes ou spirituels.

 

L’argent appartient à l’être qui n’en est pas esclave, sinon c’est l’être qui lui est sujet. Au cours de l’involution, les valeurs spirituelles se sont formées et ont abouti dans le conflit, entre le pouvoir de l’argent et la spiritualité de l’homme. Et ce conflit naquit de la dualité de l’homme, le matériel et le spirituel. À la fin du cycle cette dualité sera détruite, car l’homme ne sera plus influencé, ni par l’argent, ni par la spiritualité.

 

Alors l’argent sera libéré et redeviendra un outil, afin de redonner à tous le confort digne d’une race intelligente et créative, mais beaucoup de pauvreté sera vécue et soufferte avant que ces temps n’arrivent. Et lorsque ces temps seront arrivés, l’homme se servira de tout et il ne sera plus esclave. Je parle naturellement des hommes qui entreront dans la conscience supramentale car la conscience supramental descend sur la terre et bouleverse tout, même la force la plus stable de l’involution, forme dont la liaison avec le pouvoir, exclut la majorité, mais tant que la conscience n’aura pas régit l’intelligence de l’homme, il y aura sur la terre de la pauvreté.

 

Mais ceux qui comprendront, parce qu’ils auront été élevés en intelligence et volonté ne souffriront pas de pauvreté, car la pauvreté est karmique et seule l’intelligence et la volonté peuvent détruire cette condition de l’homme. L’argent aujourd’hui détruit le sentiment de la bonne grâce, c’est-à-dire, de la bonne vie  car la vie est une grâce c'est à dire  qu’elle est le passage d’une énergie infinie et ce passage pour ne pas être troublé par l’argent doit-être parfait, c’est-à-dire, que l’homme doit comprendre que tout ce qui vient vers lui-même, l’argent fait partie de cette grâce de la vie et il doit l’apprécier à sa juste valeur.

 

Et tant qu’il n’est pas dans l’intelligence de la vie et qu’il n’en comprend pas les lois, il ne peut apprécier l’argent en tant que tel, son sentiment spirituel qui ne fait pas partie de l’intelligence de la vie, mais du sentiment de la vie, est incapable de se diviser entre lui-même et la vie. Seule l’intelligence de la vie permet à l’homme de se diviser entre lui-même et la vie, car seul l’intelligence créative construit l’homme par la vie, tandis que le sentiment de la vie élève l’homme vers la vie. Mais il élève l’homme vers la vie, car il n’est pas encore dans l’intelligence de la vie.

 

Et la survie de l’homme planétaire ne dépend que de son intelligence de la vie, car c’est cette intelligence qui est sa lumière, tandis que le sentiment de la vie n’est pas la lumière de la vie, mais la vie dans la lumière astrale de l’homme. L’homme dit facilement merci mon Dieu, de nous donner du pain sur la table, mais il est trop ignorant des lois de l’intelligence créative, pour dire merci mon Dieu, de nous donner de l’argent pour mettre du pain sur la table.

 

L’argent vient avant le pain. Cette remarque semble simpliste, mais vous remarquerez que tout est simple dans l’intelligence créative et tout se complexifie dans le sentiment spirituel. Autrement dit, on est plein de merde et on se raconte des histoires, car on n’est pas réellement intelligent, mais on est ignoramment spirituel. Les illusions spirituelles de l’homme sont tellement profondes que la planète entière est prisonnière d’un immense filet et nous retrouvons à l’intérieur de ce filet toutes sortes de poissons, de gros poissons, les gens qui ont de l’argent et qui s’en serve inconsciemment, qui mange une multitude de petits poissons, tous les gens pauvres. Mais les petits poissons ne sont pas assez intelligents pour repasser par les petites ouvertures du filet, pour retourner à la grâce de la mer, à la grâce de la vie.

 

Tant que l’homme spirituel ne sera pas dans l’intelligence créative et qu’il empêchera cette intelligence de traverser l’intellect, il ne pourra bénéficier à sa juste mesure de l’abondance que peut lui offrir la terre, car il dépendra de ses faux sentiments, même si ces derniers sont sincères et puisés dans une philosophie spirituelle élevante. L’homme spirituel doit-être réaliste, il doit comprendre de plus en plus parfaitement, c’est-à-dire, de moins en moins avec ses sentiments et de plus en plus avec l’intelligence créative neutre, libre de toute dualité.

 

L’argent n’est en lui-même, ni bien, ni mal, mais l’homme lui donne sa représentation selon qu’il est intelligent ou ignorant. Et l’ignorance à fait plus que tout autre force pour rendre l’homme pauvre. Ce n’est pas l’argent qui est le problème de l’homme, mais l’homme vis à vis l’argent. Et de la condition de l’homme, découle l’image de l’argent que lui construit de toute pièce. L’homme n’est pas encore suffisamment évolué, pour que l’argent disparaisse de la surface de la terre et pendant qu’il sert d’échange entre les hommes, ceux qui se conscientisent, apprendront à s’en servir à bon escient.  Ils apprendront que le mal est dans l’homme et non dans le métal et que l’abus est dans l’homme, que l’idolâtrie surgit des tréfonds de l’homme, qui ne connaît pas les lois de l’esprit, il ne peut vivre de ces lois.

 

Aucun homme conscient ne peut vivre dans la pauvreté, car elle est représentative de l’absence de conscience créative. Mais ce n’est pas facile de passer de l’habitude à un état intelligent car beaucoup de préjugés œuvrent contre l’intelligence réelle, car les préjugés naissent de l’ignorance et se répandent comme le feu. L’argent est un pouvoir négatif lorsqu’on veut égoïstement le faire profiter contre les autres. Mais il devient une mesure d’indépendance, lorsque l’on se l’approprie en mesure de nos efforts et de la valeur de nos efforts. Il est alors inconcevable que l’homme spirituel, fonde sa philosophie spirituelle, sur une diminution de la grâce de vie qui nous est donnée selon la nécessité matérielle de nos vies, et selon ce que nous pouvons faire avec ce qui nous est donné.

 

Tant que l’homme est inconscient des forces qui œuvrent dans sa vie, l’argent est une nécessité égocentrique, car il n’y a d’autres points de vue que celui de l’appropriation. Mais lorsque l’homme commence à voir l’action des forces créatives dans sa vie, il lui est de plus en plus évident que ces forces contrôlent l’aspect monétaire de sa vie. Et tant que les forces n’ont pas suffisamment traversé sa conscience, l’argent peut-être un problème, car les forces se servent des interférences pour diminuer l’accès à l’argent, car elles se servent de la tension matérielle pour augmenter l’indépendance psychologique, mentale et émotive, vis à vis l’argent.

 

Mais lorsque le travail est terminé et que le corps mental supérieur devient un centre de perception de l’intelligence créative, cette même intelligence redresse la condition matérielle de l’homme afin qu’il puisse augmenter son niveau d’énergie créative. Car lorsque l’homme n’a pas de tension matérielle et que son intelligence créative est active en lui, cette intelligence se servira de la condition matérielle pour faciliter l’actualisation de son plan d’évolution. Car l’homme ne peut être créatif, c’est-à-dire, engagé dans la conscience créative supramental et souffrir dans sa condition matérielle. Car son centre émotif bloque car le centre mental supérieur de la même façon que le mental inférieur bloque l’énergie qui alimente l’émotif.

 

Alors le problème de l’être spirituel vis à vis l’argent doit-être comprit et résolut, car cet être ne peut accéder au vrai plan de son intelligence, s’il est rattaché au cordon de la pauvreté. La terre est la seule planète de la galaxie où la pauvreté existe et la terre est la seule planète de la galaxie, où l’ignorance matérialiste et spirituelle existent Sans argent, on ne peut rien faire sur la terre car l’argent est la mesure même de l’énergie dont est constitué le pouvoir progressif de la civilisation. Tant que l’homme spirituel ne peut entrer dans le courant de la vie et voir et constater comment fonctionne la société, il demeurera un triste individu, incapable d’agir, car son intelligence étant brouillée par le sentiment ne servira pas.

 

Pour que l’intelligence serve, il faut qu’elle soit présente et pour qu’elle soit présente il faut que l’homme soit libre des voiles qui l’aveugle et le maintiennent dans cet état. Si les êtres spirituels, comprenaient la fonction et le rôle de l’argent et s’en serviraient créativement, les êtres matérialistes y trouveraient une leçon de vie qui les rapprochaient d’eux-mêmes. Mais l’homme n’en est pas encore rendu à ce point.

 

Car l’être spirituel c’est encore la risée de l’être matérialiste et il sera la risée de l’être matérialiste tant que l’argent n’aura pas passé du stage lunaire au stage mercurien, c’est-à-dire, tant que les gouvernements n’auront pas été forcés par des intelligences supérieures à retransmettre le pouvoir de l’argent à la hiérarchie invisible de la terre. Ces temps ne sont pas encore arrivés mais déjà les fondations y sont présentes.

 

L’argent ne pourra plus après l’établissement de l’ordre nouveau convertir les énergies de la planète en force de domination, c’est-à-dire, que les hommes seront pour la première fois, libres socialement du pouvoir de l’argent qui est sous le contrôle des forces qui cherchent à détruire l’humanité et à rendre l’homme esclave de la machine mécanique. Car la machine est le produit de la science plutonienne sur la terre et l’homme ne réalise pas que cette science, malgré ses progrès, ne représente que la première phase de l’extinction de l’humanité.

 

L’humanité est une masse d’énergie et cette énergie peut être transformée au profit de la machine mécanique selon que le pouvoir de l’argent puisse demeurer sous le contrôle de l’égo qui sert les intelligences occultes plutonienne, inconsciemment qui font passer leurs sciences par le cerveau de l’homme en se servant de l’argent pour que l’homme exécute leurs plans d’involution. L’homme a beaucoup de choses à apprendre, la science matérialiste de l’homme ne peut avancer sans le pouvoir de l’argent et il faudra un jour que le pouvoir de l’argent soit compris intelligemment par les êtres spirituels, afin que la science et toute vie sur terre, soit stabilisée.

 

La conscience supramentale sera la première phase de cette conscience, qui instruira l’homme dans les lois de l’argent, dans les lois de la planète et lui révélera les mécanismes occultes extra-planétaire qui interférent avec l’évolution naturelle de l’homme et le plonge dans un périple inconcevable pour l’intelligence humaine. L’homme ne peut plus vivre de son intellect, car il est au service de l’anti-homme. Et tant que l’homme ne réalisera pas le pouvoir du symbole sur son esprit, ce symbole servira à transformer l’énergie de l’humanité en une force de totale domination sur l’esprit de l’homme. C’est la bête de l’apocalypse et cette bête est en voit de puissance.

 

L’antéchrist est plutonien et le pouvoir de l’anti- Christ lui viendra de Pluton, mais l’anti-Christ n’est que le visage de Pluton. Son esprit est encore plus dangereux, car peut sauront reconnaître l’esprit de l’antéchrist, bien que beaucoup verront son visage. Lorsque l’esprit de la matière sera sous le contrôle de l’homme, l’esprit de l’antéchrist sera détruit et l’homme entrera dans une ère nouvelle. Alors il est important que l’être conscient comprenne les choses selon les lois de l’intelligence créative et non selon les sentiments, car les sentiments même spirituels libèrent l’homme de son émotif, mais le lient dans son mental.

 

 

L’émotif est la porte qui ferme le passage à la lumière. L’être conscient doit comprendre tous les aspects de la vie. Et nul doit lui échapper. Voilà pourquoi les lois de l’argent doivent être expliqués à l’homme, afin qu’il sache que la vie sur terre dépend du pouvoir de l’argent et que le pouvoir de l’esprit sur terre dépend du pouvoir de l’esprit sur l’argent, c’est-à-dire, sur la matière car le lien entre l’argent et la matière est absolu aujourd’hui.

 

Mais l’homme conscient peut détruire le pouvoir de l’argent sur la matière de ses émotions et de son mental inférieur, car toute conscience dirige et amplifie créativement la relation entre l’homme et toutes forces qui normalement le dominent, à cause de sa faiblesse de sa nature, à cause de la faiblesse de ses sentiments.

 

Autant il est important à l’homme conscient d’être dans l’intelligence de tout ce qui l’entoure et affecte sa vie, autant il est important à ce même homme de regarder froidement à travers ses sentiments et voir ses sentiments surtout ceux de nature spirituelle se fondent avec la nature de la réalité, de la dure réalité de l’intelligence créative. Si sa nature spirituelle ne coïncide pas avec cette réalité qui ne peut être parfaitement expliqué que par l’intelligence en lui et doit s’attendre à réaliser des choses qui ne conviennent pas avec ses émotions.

 

C’est ici qu’il commence à grandir, car tout ce qu’il apprendra en tant qu’homme conscient dans l’avenir, ne peut coïncider avec ses émotions, ses sentiments. Car le réel est plus grand que la science-fiction. La science-fiction n’est que la limite du raisonnable et elle sert à attiser les regards de l’homme vers l’infinité qu’il ne peut voir et ne comprendre que lorsque son intelligence n’est plus conditionnée par les sens, mais issue d’un monde parallèle où les portes du réel sont infiniment plus vastes que les grilles du plan, où il apprend à se dépasser à tous les niveaux.

 

L’homme désire l’immortalité, mains craint de s’aventurer seul sur la route qui y mène, car justement il n’y a pas de lumière suffisante en lui. Si on la lui présente un peu, ses yeux clignotent, il a peur. Peur de quoi ? De qui ?

 

De lui-même, car il ne réalise pas que son lui-même est faux et que son vrai lui-même ne peut apparaître que lorsqu’il est prêt à l’affronter. La nature de l’argent coïncide avec l’inconscience de l’homme, l’argent est le produit de cette inconscience et l’homme ne veut pas voir l’argent tel qu’il est, il préfère le regarder avec les yeux drogués du sentiment spirituel.

 

C’est ainsi et pour cette raison qu’il est pauvre et qu’il doit le demeurer, car il refuse de voir que le réel est au-dessus de la dualité et que le réel peut tout transformer, même l’argent. L’être conscient doit détruire toutes les barrières qui le séparent de la compréhension des choses. L’intelligence supérieure de l’homme coïncide avec l’espace éthérique et cette espace est libre de la pensée et des sentiments de l’homme.

 

Alors il faut bien le regarder le phénomène de l’argent dans la vie consciente et en établir les relations véritables avec soi-même, afin que la vie consciente soit profitable à l’homme matériellement, comme elle lui est profitable intérieurement. Il doit y avoir équilibre entre la matière et la vie. Car la matière fait partie de la vie, lorsque la vie sera autre et les conditions changeront et les lois seront autres.

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