Plus une forme contient d’énergie émotive, plus cette forme diminue le pouvoir de l’intelligence et de la volonté. Car l’énergie émotive contenue dans une forme, retient l’ego et l’enchaîne, de sorte que l’intelligence et le pouvoir de la volonté qui vient avec elle, ne peut s’intégrer à la personnalité et lui bénéficier. L’énergie émotive n’est pas réelle, c’est-à-dire qu’elle ne provient pas du vrai moi, mais du faux moi conditionner par le périsprit. Alors lorsque cette énergie vibre dans l’homme, son intelligence réelle est bloquée.
L’énergie émotive est une pulsation inférieure et animal de l’homme, elle se sert du corps animal ou astral de l’homme et le fait souffrir car l’émotion nécessite qu’il y ait souffrance dans l’expérience. Puisque sa réalité est fictive et l’ego malgré lui-même doit s’en rendre compte. Mais il s’en rencontre de façon inconsciente, de sorte que l’émotivité continue dans sa vie et l’ego ne s’en sort jamais. Par exemple être en amour est une souffrance joyeuse et perdre un être cher est une souffrance aigüe dans les deux cas opposés, il y a souffrance ou émotivité subjective.
Les formes émotives constituent le matériel même dont est construite l’existence humaine. Si l’homme comprenait combien il est prisonnier de cette énergie, combien son intelligence en est affectée et ainsi que sa volonté, il serait révolté à la fois contre lui-même et les forces de vie qui semblent abuser de sa vie, de son intelligence et de sa conscience inférieure. Mais les forces de vie ne peuvent altérer la conscience de l’homme au-delà de sa capacité émotive, car elle le détruirait. L’énergie émotive et la forme qui la contient, reflète l’état psychique de l’homme, son état primaire et cet état ne peut être bouleversé au-delà d’une certaine limite, car l’esprit de l’homme serait obligé de laisser le corps matériel avant le temps prévu.
La forme qui contient l’énergie émotive n’est pas sous le contrôle de la partie cosmique de l’homme, tant que ce dernier n’est pas suffisamment présent dans sa conscience réelle. Lorsque cette conscience a été établie fermement, l’énergie émotive de la forme ne peut plus affecter son état d’esprit, c’est-à-dire affaiblir son intelligence et sa volonté, mais au contraire augmente cette intelligence et cette volonté, de sorte que l’homme ne peut plus souffrir de la même façon qu’auparavant, car la souffrance antérieure à été démunie de ces supports psychologiques, le mécanisme d’auto réflexion et de pénitence qui font parties intégrale de l’ego, donc la nature n’a pas encore été élevée au- dessus du pouvoir de l’énergie émotive et de sa forme accompagnante
La forme qui contient l’énergie émotive est toujours une forme quelconque de mensonge. Mensonge dans un sens très stérique, dans ce sens que toute émotion humaine, comporte le risque éventuel et graduel de l’aliénation de l’intelligence et de la volonté réelle, car elle présuppose une déformation du corps astral, chaque fois qu’elle se manifeste. Cette déformation du corps astral entraîne une perte de vision intérieure et lorsque cette condition s’accumule pendant une trop longue période, la fonction naturelle du corps astral est altérée et l’homme au lieu de bénéficier de son corps astral, en souffre.
Voilà pourquoi l’homme a toujours l’impression de ne pas être parfaitement heureux. Nous découvrons la déformation du corps astral dans la différence entre l’imagination créative et l’intelligence créative. L’imagination créative permet à l’ego de réfléchir des images qui s’impriment dans sa conscience astrale au dépend de son intelligence créative, c’est-à-dire que ces images au lieu d’apparaître en lui, d’une façon continues et consistantes, apparaissent de façon intermittentes et ne possèdent pas la qualité fondamentale de ce qui est intelligent et créatif, c’est-à-dire continue. Hors l’imagination créative ne possède pas de continuité, elle change constamment et s’améliore ou dépéri, selon l’état astral de l’homme. Dans le cas opposé de l’intelligence créative, le facteur astral est illimité, c’est-à-dire qu’il n’est pas conditionné par la conscience émotive de l’homme, mais par la conscience intelligente de l’homme. De sorte que le corps astral au lieu d’imprimer des images qui proviennent ou sont suscitée par l’émotion, imprime des images suscitées par l’intelligence créative de l’individu, lui révélant des aspects intelligents de la conscience créative, au lieu d’aspects miroitants et réfléchissant de la conscience émotive.
La différence entre l’imagination créative et l’intelligence créative est tellement vaste et importante que seul celui qui la connaît peut le réaliser et voir jusqu’à quel point la vie humaine est une projection constante de son émotivité dans le monde. L’énergie émotive et sa forme accompagnante, colorent la conscience astrale de l’homme, de sorte que cette conscience merveilleuse, au lieu de servir créativement l’homme, sert des forces qui sont anti-homme, anti-esprit, anti- intelligence.
Ces forces anti- homme font partie des bases vibrations qui traînent sur les plans inférieurs et qui attirent tout ce qui peut les nourrie et les perpétuer. C’est le mal donc parlaient les anciens. Mais le mal n’est pas seulement un aspect de ces forces, il est aussi un aspect de l’homme qui les nourris et les rends puissantes. Et c’est la forme et son énergie émotive qui permet à ces forces de s’installer dans sa conscience astrale et de la déformer, de sorte qu’elle perd éventuellement son pouvoir créatif pure, pour devenir simplement de l’imagination faussée et non intelligente. Si l’homme n’apprend pas quelque chose de réelle par sa conscience astrale, cette dernière n’est pas intelligente ni créative, mais purement imaginative. Elle ne peut alors le servir, car elle ne peut ajouter à sa vie mentale supérieure.
La conscience astrale de l’homme doit ajouter à sa conscience mentale, si elle n’ajoute pas à cette conscience, elle l’affaiblira, car la conscience mentale de l’homme dépend de sa conscience astrale, tant que l’homme n’a pas perdu complètement la mémoire psychologique. Nous appelons mémoire psychologique cette mémoire qui dépend de l’ego et de ces mécanismes de réflexions perpétuelles. Pour que la conscience astrale de l’homme, ajoute à sa conscience mentale, cette dernière doit-être consciente de la valeur d’elle-même, sans avoir besoin d’être solidaire de la pensée collective ou de l’émotivité collective suscité par cette pensée de l’humanité.
Autrement dit, pour la conscience astrale de l’homme lui serve, il doit d’abord être certain de la valeur de sa conscience mentale, de sa force créative, de son origine objectif et cosmique. Sinon sa conscience astrale n’aura pas le pouvoir de le servir, elle servira les autres forces en lui, autrement dit, elle se servira de lui. La forme est une réalité énergique qui retient et empêche l’homme de vibrer à l’énergie de l’intelligence pure. De sorte que la forme alors qu’elle crée une barrière psychologique chez l’homme, le démunie de son pouvoir vibratoire latent, c’est-à-dire de sa conscience créative et active.
La forme doit-être réalisée par l’ego, elle doit-être saisi et comprise dans sa manifestation émotive ou intelligente, si l’ego veut s’élever au-dessus de son influence et accéder à une intelligence plus vaste que celle que lui impose la forme, à cause de son effet sur le mental et l’émotif de l’homme. Ce n’est pas la forme en elle-même qui est dangereuse pour l’homme, mais l’incapacité de l’homme de la voir, de voir son effet qu’elle crée chez lui, la diminution de son intelligence réelle.
La relation entre la forme et l’intelligence réelle de l’homme est une relation qui détermine la nature même de l’homme. Plus il est prisonnier de la forme, moins il aura d’intelligence réelle et plus la forme diminuera sa capacité d’être libre, c’est-à-dire intelligent, c’est-à-dire vitalement vibrant à l’énergie de l’intelligence, tant sur le plan mental, émotionnel que vital et conséquemment physique.
La forme est une condition énergique de l’homme imposée à son intelligent et son émotif, elle n’est jamais sans pouvoir d’influence sur ces deux plans à la fois. Alors elle se nourrit de cette énergie mentale inférieure et émotive et se nourrissant, devient de plus en plus puissante, de sorte que peu de temps s’en faut-il pour qu’elle possède sur l’homme un contrôle vibratoire, dont il ne peut mesurer l’importance. Delà son inconscience grandissante et la perte naturelle de son intelligence réelle et créative.
L’intelligence réelle peut faire comprendre à l’homme l’effet de la forme sur son être, car elle est libre de la forme. Mais l’homme ne peut facilement ou à volonté grandir dans cette intelligence, car la forme lui barre la route de mille et une façon, de sorte que l’homme se retrouve toujours sous le contrôle plus ou moins grand de cette énergie, de cette forme. Ce n’est qu’avec le temps et la souffrance de l’expérience et la compréhension de l’expérience où l’énergie de l’intelligence pénètre et brise la forme, que l’homme se voit graduellement dépouillé de son pouvoir sur lui et qu’il grandit dans son intelligence.
La forme mentale, la pensée subjective créent dans l’homme une distorsion de sa réalité de vie. De sorte que son émotivité naturelle, au lieu de lui apporter le confort astral, c’est-à-dire le bien être, le lui enlève pour le remplacer par une sorte d’angoisse qui colle toujours à sa conscience. Il ne semble jamais pouvoir se sentir parfaitement bien et d’une façon permanente. Il y a toujours quelque chose qui cloche et qui sonne faux dans sa vie. Cette forme doit-être vaincue et elle ne peut l’être que lorsque l’homme à apprit durement à faire confiance à la vie, c’est-à-dire à l’intelligence en lui qui le mène, mais dont il doit prendre parfaitement conscience pour parfaitement en bénéficier par le biais d’une compréhension parfaite.
L’énergie de l’intelligence, lorsqu’elle pénètre dans l’homme, crée toujours un choc vibratoire, c’est-à-dire quelle crée une sorte de désordre psychique. L’homme alors doit comprendre que ce désordre psychique se déséquilibre temporaire et créée par l’énergie et son contact avec la forme en lui. Lorsqu’il est habitué à ce désordre, ce déséquilibre vibratoire qui lui enlève temporairement le faux calme, il doit apprendre à le subir, à le souffrir, à le vivre avec autant de patience possible selon son état, c’est-à-dire sans que la forme mentale ou émotive intervienne pour rempirer son état. S’il parvient à saisir ceci, il ne souffrira pas de la forme, simplement de l’énergie et sa confiance dans l’énergie de l’intelligence grandira, c’est-à-dire qu’il comprendra que ce qui se passe en lui est énergique et non psychologique et la forme perdra sur lui son emprise.
Éventuellement ces changements vibratoires n’affecteront plus sa psychologie, mais simplement son énergie mentale et émotive et il atteindra un plateau ou rien extérieur à lui-même ne troublera son esprit, car l’ego sera plus intelligent et alors rassuré, que tout ce qu’il ressent ne dépend pas de lui, mais de l’intelligence en lui, qui travail sans cesse pour l’élever au-dessus de la condition humaine impitoyable de l’inconscience.
L’utilisation créative de la forme par l’intelligence, requière que l’homme soit conscient des mécanismes illusoires de l’ego, afin de ne pas être prisonnier de l’illusion que crée la forme. Une fois cette conscience bien établie en lui, les formes se brisent petit à petit et perdent leurs emprises sur l’ego. La forme contient toujours l’émotivité que l’intellect lui octroi. C’est pourquoi il est important pour l’homme de bien connaître les mécanismes subtils de la forme, afin de soulager l’intellect du poids qu’il doit subir, lorsque la forme est détruite.
La forme est construite d’énergie astrale et mentale inférieure et cette énergie fait partie de la conscience périsprit de l’homme et le périsprit est maintenu par le pouvoir vibratoire des plans inférieurs. Si l’homme était soudainement libéré de son périsprit, sans préavis, sans compréhension de ce qui lui arrive, l’ego serait incapable de subir l’entrée de l’énergie de l’intelligence et la souffrance serait-elle qu’il préférerait mourir, que d’être soudainement incapable de vivre ce vide extraordinaire qui se fait, lorsqu’une telle condition se produit. Voilà pourquoi la forme doit-être détruite graduellement, afin que l’énergie pénètre graduellement.
L’énergie de la forme soutient l’ego, elle lui donne son sens d’êtreté, de sécurité, elle lui donne sa conscience subjective. Pour que l’ego vive sans se support, il doit être amené à une intelligence plus stable et plus grande de lui-même graduellement. Le temps est un facteur de grande importance, sinon l’ego perdrait l’esprit et serait obligé de revivre un nouveau cycle de vie. L’esprit de l’homme est incapable de nourrir l’ego tant que ce dernier n’est pas suffisant dans l’équilibre de ses corps subtils.
Or les corps subtils subissent constamment des impressions et ces impressions les colorent et c’est cette coloration qui est la mesure de l’ego, de sa réflexion dans le périsprit. Et tant que l’ego n’est pas suffisamment équilibré dans ses corps subtils, l’esprit de l’homme ne peut pas être libre de ses corps, de sorte que l’homme ne peut pas libérer son esprit et s’en servir. Tant qu’il ne peut pas libérer son esprit, c’est-à-dire qu’il ne peut pas se servir de l’énergie de sa mémoire, il ne peut entrer dans le monde éthérique, car pour entrer dans l’éther, l’homme à besoin de toute ses facultés, c’est-à-dire qu’il a besoin d’une vision double qui est la vision de son esprit. Car l’éther est un monde que l’on pénètre par l’esprit et non par l’astral ou par la partie inférieure de l’homme.
Et toute l’énergie qui est dans la forme doit être transmutée, afin de libérer l’esprit de l’homme. La forme est magnétique, c’est-à-dire qu’elle tire vers le bas l’énergie de l’esprit et c’est ce magnétisme qui empêche l’esprit d’être libéré et l’ego d’être intelligent cosmiquement parlant. Le magnétisme de la forme est tellement puissant que s’il est diminué par un choc quelconque par exemple, nous constatons alors que l’homme peut devenir dépressif. Hors il faut tout considérer lorsque nous parlons de l’homme, de son esprit, de son ego et de la forme. Et l’enjeu de son évolution vers une conscience supérieure se joue ici.
L’énergie de la forme non réalisée, crée dans l’homme la prison de son esprit. Et tant que l’ego n’a pas secoué le pouvoir magnétique de la forme sur son émotif et son mental inférieur, il est voué au cycle de la vie, car la forme se rapporte après la mort et fait partie de la mémoire de l’âme qui servira à la planification de la vie future sur des conditions nouvelles. La forme programme l’ego à une condition de vie, mais déforme son intelligence réelle, car elle n’est pas intelligente, c’est-à-dire quelle ne fait pas partie de l’intelligence, mais simplement de la condition de pénétration dans les plans inférieurs de cette énergie, de sorte que la forme sera toujours une condition d’intelligence mais jamais l’intelligence elle-même, car l’intelligence crée la forme, pour que l’homme puisse absorber petit à petit son énergie, alors que son esprit n’est pas encore libre.
Lorsque son esprit sera libre, l’homme n’aura plus besoin de passer par l’illusion de la forme pour évoluer. Il évoluera par le mouvement de son esprit dans l’éther qui est le monde où l’énergie de l’intelligence est créative, c’est-à-dire présente, permanente et sans réflexion. Cette énergie présente et sans réflexion, permettra à l’esprit de l’homme de reconnaître en elle, ce qu’il doit reconnaître et cela selon son degré d’évolution, car l’esprit de l’homme possède la vibration de son énergie et cette énergie convient à son degré d’évolution, de sorte que l’esprit libre de l’homme, ne peut être que là où il doit-être, dans l’éther de l’intelligence et c’est cette condition qui fait de l’homme ou de son esprit, ce qu’il est, ni rien, ni plus.
Le phénomène de réflexion de la forme, croît graduellement au cours de l’existence et vient le jour où cette réflexion est assez forte pour que l’ego est l’impression d’être humain, c’est-à-dire d’être un homme. Lorsqu’en fait l’homme est un devenir dont l’aboutissement n’est pas encore en vue sur le globe terrestre. Et cette illusion d’être humain correspond à une vibration inférieure de l’esprit de l’homme et c’est cette vibration qui crée dans l’ego la réflexion qui lie l’homme à la matière et lui rend la tâche philosophique si difficile, car l’homme d’aujourd’hui n’est pas encore dans sa réalité complétée. De sorte que le terrestre s’intéresse naturellement à la matière ou à la spiritualité, lorsqu’en fait, il ne devrait être conscient que de l’énergie en lui, qui lui donne conscience, c’est-à-dire réalité permanente.
La forme bloque la conscience de l’énergie de sorte que l’intelligence qui procède de cette conscience de l’énergie n’est que très faiblement représentée à l’esprit de l’homme. C’est pourquoi les formes qui créent et prédisposent l’ego à une fausse compréhension de la vie, doivent être réalisées essentiellement, c’est-à-dire vibratoirement, sinon elles ne peuvent être parfaitement neutralisées dans leurs effets sur le mental et l’émotif. On ne peut philosopher ou rationaliser les formes, sinon nous en créons d’autres et l’homme doit les réaliser vibratoirement et ceci ne peut se faire qu’avec le temps et non par attitude.
Que la forme contienne une énergie qui doit-être libérée, pour que l’homme perçoive l’énergie de l’intelligence, est une des fondations de la psychologie de l’intelligence que connaîtra la sixième race de l’homme. De cette expérience naîtra la transmutation des principes subtils qui mèneront l’homme vers la mutation. Autant l’homme a vécu et c’est nourri de la forme au cours de l’involution, afin de créer diverses cultures et civilisations, autant l’homme de demain sera libre émotivement et intellectuellement de la forme, de sorte que l’énergie de l’intelligence sera présente en lui comme jamais auparavant.
La psychologie de l’intelligence supramentale, sera implantée sur la terre et l’homme ne se nourrira plus de l’extérieure de l’expérience, mais de l’intérieure de l’intelligence instantanée. Sa liberté sera assurée, car son intelligence ne sera plus infectée par l’intelligence de la conscience expérientielle de l’homme. Le domaine de la forme est infini et ce n’est que dans l’énergie de l’intelligence, dans la conscience supramentale que l’homme peut s’éviter les pièges multiples qu’elle lui tend, car la vibration de l’intelligence ne ment pas, elle est absolue.
Et plus l’équilibre se fait dans l’homme, plus il perçoit cette vibration et agit selon elle. De sorte que sa conscience se perfectionne, car elle se rapproche de la perfection de l’énergie, de sorte que le périsprit se dissout avec le temps et le jour vient où l’esprit de l’homme est libéré, c’est-à-dire qu’il peut se soustraire des influences et des forces inférieures et sortir des mondes inférieurs, contrôlés par Foral, Atrion, Redka et Mistra. Une fois libéré de ces mondes, l’esprit peut sortir des ténèbres, c’est-à-dire des régions inférieures et pénétrer à volonté dans les mondes de l’intelligence où l’esprit doit travailler, pour le bénéfice de l’évolution et de l’homme.
Or le phénomène de la forme et la compréhension de ces mécanismes, vis à vis l’énergie de l’intelligence créative, est très importante, car elle permet à l’homme de connaître la mutation, de sorte qu’il passera d’une étape à une autre de l’évolution. L’énergie créative non utilisée à l’intérieur de la forme rend l’homme passif, c’est-à-dire l’assujettie aux forces extérieurs et le rend passible de mort, car pour vaincre la mort, l’homme doit vivre de l’énergie continue, c’est-à-dire de l’énergie contenu dans la forme, car cette énergie nourrit son mental et son émotif, son vital et son corps matériel.
La puissance de cette énergie est créative, c’est-à-dire quelle dépend de l’intelligence cosmique universelle et de son union, c’est-à-dire fusion avec le mortel. La forme prélève des forces de vie qui ne s’acheminent pas vers les centres d’énergies de l’homme. Elles ne servent qu’à maintenir en équilibre les corps subtils, mais ne créent pas de feu suffisant dans les centres afin d’élever la vibration des corps subtils au-delà de la vibration planétaire.
La vibration cosmique entre par les centres mais diminue lorsque trop de son énergie sert à colorer la forme. Les formes par contre, lorsqu’elles perdent leurs pouvoirs psychologiques sur l’homme, permettent à la vibration cosmique de ne pas se dégrader. Elles demeurent alors stables et ne cesse de s’amplifier, ce qui augmente la conscience humaine. L’esprit éventuellement se libère et l’ego prend conscience de son intelligence et lorsque le travail est terminé, l’esprit de l’homme intéract avec l’ego pour servir l’homme et lui permettre de connaître les lois de tous les plans, de sorte qu'une nouvelle civilisation peut être établie sur les décombres de l’ancien.
Le pouvoir psychologique de la forme sur l’ego inconscient est total, c’est-à-dire qu’il empêche l’ego de réaliser son identité avec l’intelligence qu’il l’habite et le force à souffrir dans sa personnalité. Tant que l’ego souffre dans sa personnalité, il subit le pouvoir de la forme. Lorsqu’il se libère de ce pouvoir sur lui, sa personnalité subjective s’estompe et il découvre une personnalité réelle, c’est-à-dire une personnalité qui n’est pas colorée par la forme, mais créative et intelligente. Elle est alors parfaitement en harmonie avec l’énergie de l’intelligence supramentale.
La forme est une réalité qui doit s’ajuster à l’intelligence, au lieu d’être une condition de vie qui crée une psychologie égoïque passive, vis à vis l’homme et tant que la forme ne peut pas être perçue vibratoirement par l’ego, elle lui crée une impasse et le retient dans son intelligence. Puisque l’intelligence réelle est infinie et que la forme est finie dans son intelligence, il est naturel que l’homme ne vive sa vie qu’à l’intérieure d’une limite psychologique, maintenu et créée par la forme. Dès que l’énergie de l’intelligence commence à percer cette forme, la psychologie de l’individu, c’est-à-dire sa conception de lui-même et du monde change et son esprit commence à grandir et à devenir plus fort en lui. De sorte qu’avec le temps et se changement continu qui ne peut plus être arrêté, son intelligence grandit et sa vie se stabilise à un autre niveau, elle se clarifie et devient plus réelle et limpide.
La psychologie matérialiste remplace une forme par une autre dans son traitement psychologique de l’être humain. La psychologie de l’intelligence, c’est-à-dire la science de l’intelligence qui vient du plan supramental, permettra de reconnaître le jeu de la forme et son emprise sur l’intellect et l’émotion. De sorte que l’homme au lieu de subir une alter ration de sa personnalité, subira un changement vibratoire de ses corps subtils, de sorte que sa psychologie ne sera plus en fonction de la forme, mais en fonction de l’énergie de l’intelligence qui fait comprendre la présence de la forme et son influence sur l’ego. Puisque que tout est énergie et que la forme est énergie, seule l’intelligence supramentale peut faire reconnaître à l’homme la vibration.
Tandis que l’intellect lui fera reconnaître la réflexion. Et tant que l’homme vie de réflexion, plutôt que de vibration ou d’énergie vibratoire, il s’encapsule à l’intérieur d’une illusion globale, qu’on appelle la psychologie de la personnalité. Ce n’est pas la personnalité qui doit-être l’arrière fond de la vie de l’homme, mais l’intelligence réelle qui active ses corps subtils et leur donne une vibration qui devient sa conscience supramentale de l’être.
L’homme doit-être conscient de l’intelligence en lui dès que vibre la forme, afin de ne pas perdre d’énergie vitale, car l’émotivité ressentie lorsque la forme vibre, diminue les forces de vitalité chez l’homme, de sorte qu’il vieillit prématurément, à cause de cette perte d’énergie créée par la vibration de la forme et son effet. Émotivement l’être humain est constamment menacé dans sa survie. Et cette menace s’accroît lorsque l’équilibre dans le monde diminue. De sorte que viendra le jour où l’homme verra que l’équilibre mondial est totalement rompu et cette expérience lui enlèvera tout support psychologique et il perdra une grande quantité d’énergie, une quantité anormale d’énergie vitale et ceci créera une grande vague de dépression nerveuse.
La forme et son effet sur l’émotif se transmet sur le plan vital, de sorte que peut sans faut, pour que la maladie mine l’existence et la rendre encore plus pénible. Ainsi, si nous parlons de la forme et de l’énergie qu’elle enlève à l’homme qui ne sait pas la reconnaître et en reconnaître les effets. C’est pour faire comprendre que la vie ne peut-être saine, que dans et par l’intelligence réelle. Ceci veut dire aussi que l’intelligence réelle travail toujours et sans cesse au perfectionnement des corps subtils, pour alléger le fardeau de la vie matérielle et psychologique. Fardeau dont le poids est proportionnel au pouvoir de la forme sur l’émotivité.
Lorsque la forme affecte l’ego, il se crée ce que l’on peut appeler du stress et l’homme peut accumuler beaucoup de stresse. Mais lorsque la forme affecte l’esprit, ce n’est pas le stresse qui est responsable, mais le choc et le choc est plus dangereux que le stress. Alors que le stresse oblige la personnalité à se modifier et à se mouler aux conditions environnantes, se qui crée graduellement une personnalité de plus en plus aliénée, le choc lui, crée une séparation nette entre l’émotivité et le mental inférieur. Et un trop grand choc peu détruire totalement une personnalité et l’amener sur le bord ou au suicide, par le biais de la dépression.
Car il est important de reconnaître lorsque l’homme à conscience de la forme et de ses effets, le stresse disparaît et le choc devient impossible, car il y a suffisamment d’intelligence réelle en lui, pour maintenir l’équilibre entre l’émotif et le mental inférieur. Mais si l’émotif et le mental inférieur ne sont maintenu en équilibre provisoire, que par des formes qui sont elles-mêmes incontrôlables, car elles dépendent de l’extérieur de l’homme, il y a peu de chance pour l’homme lorsque se produit dans le monde le choc qui vient de la condition même d’une planète primitive dans son intelligence. C’est précisément ici que l’individu, que l’homme doit comprendre la nature de la vie, afin de vivre sa vie selon des lois d’énergies immutables et parfaites en elles-mêmes. La conscience de l’homme inconscient est primaire, c’est-à-dire qu’elle ne possède pas de pouvoir par elle-même.
La conscience de l’homme inconscient est primaire, c’est-à-dire qu’elle ne possède pas de pouvoir par elle-même. Lorsque le choc dissocie le mental et l’émotif, c’est une condition dangereuse, car l’homme est alors une proie naturelle et facile aux conditions planétaires de vie. Alors que l’être humain doit-être maître de lui-même et de la nature, il n’est qu’esclave de sa condition subjective et par corolaire, esclave de la nature et des forces de vie puissantes qui œuvrent à son insu et lorsqu’il s’en attend le moins.
Remarquer que les forces de vie ne s’abattent jamais sur l’homme, lorsqu’il en est prescienment avisé, au contraire elles le frappent comme un voleur, lorsqu’il s’en attend le moins. C’est pourquoi il doit-être toujours prêt à faire face à toutes éventualités et c’est pourquoi l’intelligence vibratoire, travaille constamment sur ses corps, lorsqu’il commence à se conscientiser, afin de le renforcir et l’emmener à un point tel de conscience, que les forces de vie ne puissent plus l’affecter, lorsqu’elles se déchaînent. La réalisation chez l’homme de l’importance de reconnaître la forme selon sa vibration et d’en être libre, sera l’indicateur universel de la nouvelle conscience planétaire. Autant la forme aura été la cause du mensonge, visant à maintenir l’homme dans l’ignorance, autant la conscience vibratoire de ce dernier, l’informera parfaitement de la forme et de sa fonction.
De sorte que l’homme ne sera jamais plus l’inévitable bouc et émissaire de la stupidité organisée, que nous retrouvons à la fin d’une cinquième sous race, qui ne connaît pas la vie de sa loi, ni la loi de sa vie. La sixième race sera le premier témoin conscient de la puissance de l’invisible sur la terre. Et la première race à reconnaître en elle-même, le pouvoir de l’intelligence vibratoire, car elle aura été la première à comprendre que lorsque l’homme n’est plus prisonnier de la forme, il se sert de l’énergie de la forme et se libère des chaînes de la matière et de l’esclavage cyclique de la mortalité, pour prendre possession de ce qui lui est dû, c’est-à-dire le droit de maîtriser ce qui le maîtrisa par le passé.
L’homme est petit, mais le surhomme, son fils, sera grand et le surhomme conquerra la terre, la mer, le ciel et la galaxie et d’autres surhommes se joindront à lui, pour que la terre depuis l’avènement de l’homme esclave devienne la terre de l’homme maître. Et cette terre sera reconnue dans les coins les plus éloignés de la galaxie, comme celle qui aura échappée aux lois expérimentales de la conscience cosmique.
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