Il ne s’agit pas de confondre l’égocentrisme avec le centrisme. Puisque l’égocentrisme est une manifestation subjective de l’ego, directement façonné par le caractère de l’individu et puisant sa façon, sa couleur, sa manifestation dans le tempérament de l’individu. L’égocentrisme est un manque de maturité, c’est une incapacité naturelle de ne pas pouvoir, se mettre dans la peau des autres, de ne pas pouvoir voir une situation d’une façon objective hors de soi-même, c’est une incapacité d’être vraiment humain dans le sens universel du terme.
L’égocentrisme trouve sa place chez l’homme parce que ce dernier n’est pas conscient de la force de l’intelligence de la conscience en lui qui essaie d’égaliser son rapport avec les hommes, sans pour cela lui enlever l’intimité du rapport qu’elle a avec lui-même.
Le type égocentrique ne parvient jamais à pouvoir déceler chez les autres, certaines vertus qui feraient de lui un être plus aimable, plus respectueux des autres, plus égal aux autres dans la conscience universelle de l’homme. Le grand malheur de l’égocentrisme ce n’est pas qu’il empêche l’individu d’être vraiment un homme, un être possédant le pouvoir de communiquer, d’étendre vers l’extérieur de lui-même, les facultés créatives de sa conscience, mais plutôt le fait que l’être égocentrique est incapable de voir le monde autour de lui tel qu’il est, parce qu’il est lui-même trop aveuglé par une fausse conception de lui-même, fondé sur un rapetissement constant de sa perspective vis à vis les autres.
Il y a dans l’égocentrisme différente forme d’immaturité, par exemple, il y a l’immaturité de l’amour, l’immaturité de la connaissance, l’immaturité de l’intérêt envers les autres, l’immaturité de la perception des autres, l’immaturité de la perception réelle de soi-même, autrement dit l’égocentrisme est une manifestation chez l’homme de l’immaturité de l’homme. Toute maturité demande qu’un individu puisse égaliser ses rapports avec les hommes afin de former dans le milieu où il évolue, une société égalisante, dans la mesure où chaque individu à le respect de l’autre sans pour cela être égal à l’autre en faculté créative.
Par contre un être centrique, un être conscient, un être qui réalise en lui la pulsation de cette conscience intelligente et de cette conscience qui égalise les rapports entre les hommes en vertu de la loi universelle de l’homme, permet à l’individu de se réaliser pleinement dans son pouvoir interne, tout en respectant pleinement le pouvoir, la capacité de réalisation des autres autour de lui. L’être centrique ne cherche pas à diminuer ses rapports avec la société, avec son entourage, mais plutôt cherche à égaliser constamment ses rapports afin de créer dans sa vie personnelle une ambiance qui génère constamment une nouvelle forme d’énergie, afin de permettre que l’interaction entre lui et les hommes soit une interaction qui cherche de plus en plus à s’épanouir et à devenir créative.
L’être centrique ne cherche pas à conditionner son environnement selon des prétextes psychologiques faisant partit de sa nature subjective. Au contraire il essaye de renouer constamment des valeurs avec son entourage, pourvu que ces valeurs soient rendues possibles par le fait même de sa constante attention à leur développement. Par contre si ces valeurs ne sont pas possibles, l’être centrique se retire et réorganise sa vie en fonction d’autres possibilités qui existent en lui. Si nous retournons un peu à l’égocentrisme nous découvrons que l’être égocentrique n’a d’yeux que pour lui-même. Tandis que l’être centrique n’a pas d’yeux pour lui-même, mais il a des yeux pour voir autour de lui-même si les rapports entre lui et la société revêtent un caractère sain, un caractère équilibré, un caractère ou la créativité peut être engendrée. Là, où l’être égocentrique éprouvera pendant de longues années un certain dédain pour les autres, l’être centrique cherchera constamment à établir entre lui-même et les autres un rapport de communication, un rapport d’équilibre qui servira à la fois à la vie vécue par lui-même et à la vie vécue par ceux avec lesquelles il sera en contact.
Beaucoup d’être souffrent d’égocentrisme parce qu’ils ne savent pas qu’il y en a eu une conscience universelle dont le rythme et l’allure se développent constamment au fur et à mesure que l’être commence à voir et à pénétrer l’illusion de son propre ego. Lorsque cet être a commencer à voir au-delà de cette illusion, il perd de cet égocentrisme et acquière petit à petit une autre forme de conscience directement liée à la conscience universelle qui lui donne avec le temps une centricité fondée sur le rapport étroit entre l’âme et l’ego, plutôt que sur le rapport entre l’ego et la personnalité.
L’égocentrisme est le rapport de l’ego et la personnalité, tandis que le centrisme est le rapport entre l’ego et l’âme. De ces deux rapports celui du centrisme est le plus fondamental parce que, il détermine chez l’homme la possibilité d’engendrer dans son milieu social, constamment un plus grand amour de l’autre, un plus grand amour de l’homme sans pour cela se dénuer lui-même et s’empêche de vivre. Tandis que l’égocentrisme va chercher même d’une façon subliminale, à sévèrés les liens entre lui-même et l’extérieur, sans le réaliser, sans souvent le vouloir, parce que justement il n’a pas la maturité nécessaire pour voir le dommage qu’il crée au-delà de la frontière de lui-même.
Si nous comparons l’égocentrisme avec le centrisme, c’est pour faire comprendre à ceux qui sont sur le point de s’entretenir avec ces deux différentes conceptions de l’être humain et de leurs permettre de bien réaliser les nuances de la différence de ces deux états d’esprit. Là où l’égocentrisme dirige l’organisation psychologique de l’être, le centrisme organise la psychologie de l’être. C’est-à-dire que là où vous trouverez du centrisme dans l’homme, vous pourrez dépister la pénétration de la conscience, qui organise les pensées et les sentiments de l’homme, afin que l’homme soit de plus en plus reconnu dans son milieu comme un être sain, équilibré et naturel.
Souvent fois l’égocentrisme se manifestera comme une certaine force de caractère, mais remarqué bien, que toutes forces de caractère fondées sur la personnalité en relation avec une prédisposition de l’ego à l’immaturité. Vous trouverez dans cette force de caractère une faille quelque part sur le chemin, quelque part dans vos rapports avec l’être égocentrique et cette faille à un certain moment donné créera entre vous et cet être une division ou même une rupture.
Par contre vous trouverez chez l’être centrique, chez l’être qui devient de plus en plus centrique, une façon de plus en plus naturel, d’aborder les rapports entre les hommes, d’aborder la valeur dans les idées, d’aborder la conception du monde et vous verrez que l’être centrique n’est pas réellement un être subjectif, mais un être objectif dont la conscience grandissante devient de plus en plus l’enveloppe de la personnalité et de l’ego.
A partir du moment où vous saurez reconnaître chez l’être centrique la qualité supérieure de l’homme conscient, il vous sera de plus en plus difficile de trafiquer avec l’égocentrisme humain parce que vous aurez découvert dans cet être une qualité universelle, qui appartient de droit à tous les hommes, pourvu que ces hommes soient conscients d’une plus grande dimension en eux, que la simple subjectivité fondée sur l’apparence de la personnalité et l’aspect concret du caractère. Pour déceler la différence entre le centrisme et l’égocentrisme, il faut soi-même être aviser de l’existence de la réalité du centrisme en soi. Et lorsque nous avons perçu un peu, même seulement un peu la réalité de cet état d’esprit qui est en réalité un état d’âme, il nous est impossible de ne plus pouvoir différencier entre ces deux états d’esprit. De sorte que, tout contact éventuel avec d’autres êtres humains, devient un contact différent, vue et perçu d’une façon différente, parce que justement le centrisme en soi nous a permis de déceler l’allure naturelle objective de l’homme, versus l’allure non naturelle de l’homme conditionné pas sa personnalité et renfermé dans un ego qui ne peut voir au-delà de lui-même.
Le centrisme chez l’homme n’est pas seulement un état d’esprit, c’est aussi un pouvoir de vie qui lui permet de vivre sa vie en échange avec d’autre, mais jamais contre les autres. Tandis que l’égocentrisme chez l’homme le force à cause du manque de maturité, à cause de l’impotence réelle du tempérament naturel de se manifester d’une façon consciente et d’une façon vitale en règle avec les lois de la vie.
De sorte que l’être égocentrique est incapable d’être parfaitement en équilibre avec les autres, parce qu’il n’a pas encore trouvé en lui-même l’équilibre parfait. Bien que son égocentrisme puisse lui donner l’illusion d’un bien être, l’illusion d’une maturité, l’illusion d’une autonomie, cette illusion est quand même fondée sur une personnalité qui n’a pas encore découvert les aspects réels de l’ego et la réalité même de l’ego conscientisé.
Si l’être centrique doit un jour voir en dedans de lui-même, que toutes manifestations de vie passant par la voie de l’ego, est une manifestation d’une conscience universelle, il devient évident à cet être que tout autres formes de manifestation de l’ego est subjectifs et doit être considérer comme étant une déformation de la réalité de l’homme, c’est-à-dire, une infirmité du caractère réel de l’homme et du caractère universel de ce dernier.
L’exploitation de l’homme par l’homme est fondée justement sur l’état d’esprit que nous nommons égocentrisme. L’exploitation de l’homme par l’homme est le refus de l’ego de bien envisager avec lucidité et précision le rôle dans la vie de tous les hommes. De sorte que cette incapacité multipliée à une très grande échelle sur une planète, amène une civilisation, un peuple, une nation ou plusieurs nations éventuellement à la conquête du plus fort sur le plus faible.
Là où l’égocentrisme devient un poignard dans le dos de l’homme, le centrisme devient un canal par lequel l’individu alimente d’autres individus au tour de lui, parce qu’il a le pouvoir interne d’être agrémenté par une vision de lui-même qui n’est pas faussée par des qualités qu’il se donne selon les oui dire de la société environnante.
La conscience supramentale est la porte qui permet à l’homme de vivre le centrisme et de développer en lui-même les qualités nécessaires qui lui permettrons avec le temps de développer ce centrisme à un point tel, que toutes manifestations de son ego soient en équilibre, en harmonie totale avec la conscience universelle en lui qui réfléchit la conscience universelle chez tous les hommes.
L’être égocentrique ne peut jamais trouver dans la vie un point d’appui total et réel pour son existence, parce que toutes formulations des désirent qu’il entreprendra de développer et de vivre, manifesteront toujours une incapacité réelle d’intégrer ce qu’il est réellement avec ce qu’il croit être. Une telle situation si elle s’aggrave au-delà des limites raisonnables de l’égocentrisme feront de cet être éventuellement un être malheureux, un être seul, un être solitaire.
Effectivement là où il y a de l’inconscience dans l’ego, il y a de l’égocentrisme, mais beaucoup d’êtres spirituels cherchent de plus en plus à se libérer de cette forme outrageante de la personnalité, afin de se rapprocher de plus en plus d’une forme idéale ou idéalisante de leur potentiel. Il est à remarquer que ces êtres bien qu’imbus de bonnes intentions devront à un certain moment donner de leur vie, réaliser que le centrisme ou l’absence de l’égocentrisme est une faculté de l’âme, permettant à l’ego de se réaliser pleinement dans la réalité de la lumière de cette dernière à l’aide d’une personnalité de plus en plus harmonisée à l’ego.
Là où l’homme entre dans l’erreur de l’égocentrisme, nous trouvons toujours deux aspects. Le premier aspect est évidemment l’absence de conscience universelle dans cet homme qui puisse lui donner un point de vue objectif sur lui-même. Et deuxièmement l’incapacité de cet être de réaliser qu’il y a au-delà de lui-même une autre réalité qui influe sur le comportement de l’ego, sans que ce dernier en soi conscient où sans qu’il ne le réalise.
C’est lorsque l’ego a commencé à réaliser ces deux points qu'il commence petit à petit, à perdre son égocentrisme et à réaliser qu’il y a au-delà de lui-même une réalité intelligente qui organise constamment son plan de vie en fonction des qualités et des défauts de la personnalité, afin que l’ego puisse par expérience devenir de plus en plus une force créative et égalisait dans la société.
Cependant le travail fait par les forces invisibles sur l’ego est constamment mis en échec par la personnalité de l’ego, qui est aveuglée par les formes extérieures et intérieur de la vie dont-elle ne comprend pas les lois et dont-elle est souffrante. L’ego n’a presque plus de pouvoir de réalisation et les forces, les intelligences qui œuvrent dans les sphères ont beaucoup de difficultés à éclairer l’ego, parce que ce dernier devient de plus en plus incapable de voir au-delà du mur d’acier qui l’enveloppe.
De sorte que l’égocentrisme devient avec l’homme grandissant, une formule naturelle d’exploitation de son existence qui le mène petit à petit vers les limites de la vie, c’est-à-dire vers les limites qu’il s’impose concernant les possibilités de la vie. L’être centrique par contre développe de plus en plus une affinité pour la réalisation infinie de la vie et pour la réalisation infinie des étapes de vie qui se situent au-delà du monde matériel. Malheureusement pour l’homme égocentrique il n’y a pas de portes ouvertes vers l’infinité de la conscience et c’est pourquoi l’égocentrisme généralisé aujourd’hui dans notre société moderne, est une forme d’incarcération soufferte à la fois par l’ego et affligeant la personnalité.
L’homme doit devenir centrique afin de pouvoir réaliser la différence entre ce qu’il était et ce qu’il peut devenir et c’est par le contraste des deux états d’esprits que l’homme peut réaliser le plus, la différence fondamentale entre l’égocentrisme et le centrisme ou la porte vers le supramental. Si vous avez de la difficulté à saisir la nuance de cette différence entre les deux états d’esprit dont nous parlons, il s’agit pour vous de réaliser dans quel état vous êtes au moment où vous écoutez. Si vous écoutez et que votre ego n’est pas impliqué dans le dialogue, à ce moment votre état est un état de centricité. Si par contre votre ego est impliqué dans le dialogue votre état reflète une forme plus ou moins développée d’égocentrisme.
L’égocentrisme réfléchit toujours sur lui-même une situation de vie. Dans le centrisme il n’y a aucune réflexion, l’être est tout entier, unifié dans la manifestation de vie, de conscience et la réflexion que l’on vie sur le plan de l’égocentrisme est totalement inexistante. La règle de mesure fondamentale pour déceler s’il y a un ou l’autre, c’est la réflexion en soi-même lorsqu’une situation se présente à soi-même.
La différence entre les deux états d’esprit est essentielle et doit être perçue précisément afin que s’engendre dans l’être une plus grande perception de l’objectivité de conscience qui émane de la pénétration de l’universelle dans l’homme et de la réduction de la subjectivité chez lui-même. Lorsque l’homme a compris la nuance entre l’égocentrisme et le centrisme, il lui est possible alors de pénétrer petit à petit au fond de lui-même et de réaliser que les qualités dont il se croyait autrefois le porteur sont en réalité des manifestations de l’âme par le biais de l’ego, dans le but de permettre à la personnalité de découvrir son potentiel.
Mais ses qualités demeurent toujours une énergie manifestée originalement à partir de l’âme et non à partir seulement de l’ego. L’égocentrisme est un état d’esprit malheureux parce que l’homme qui en est victime doit constamment souffrir pendant la vie du poids de toutes formes de réalisation qu’il veut bien se faire envers lui-même. Tandis que dans le cas du centrisme l’être tout en réalisant la permanence de la conscience en lui ne subit plus le poids de la réalisation, de l’énergie communiquer par le biais de l’ego, pour le bénéfice de l’évolution de l’âme. Il vit simplement cette énergie et son ego est toujours libre de la vibration, tandis que la personnalité continue à être un support sur le plan matériel pour l’ego.
Il est inutile à l’être centrique de vivre le combat esscessant de l’être égocentrique envers lui-même ou envers les autres autour de lui, puisque l’être qui est devenu centrique à réaliser que toutes formes d’énergie qui le pénètre est une forme d’énergie créative qui sert à organiser sa vie en fonction d’un but qu’il peut ou ne peut pas connaître selon la relation étroite qu’il peut avoir avec les forces dirigeantes de l’évolution. La vie devient alors facile car l’ego au lieu d’être en attention sur lui-même sert plutôt de canal afin que passe à travers lui, les forces créatives de la conscience. La vie devient alors plus simple, plus facile et plus agréable car l’ego n’est plus en conflit avec lui-même ou les autres autour de lui.
Mais le centrisme dans sa forme la plus parfaite n’est pas toujours facile à atteindre, parce que justement l’ego se voit obliger de diminuer de plus en plus sa relation avec l’illusion de lui-même pour entrer dans une nouvelle forme de vie où il s’aperçoit que c’est le courant de la vie qui mène son activité plutôt que lui croyant mené cette activité.
Là où l’égocentrisme cherche à dominer, le centrisme cherche de plus en plus à être guider dans toutes les facettes de la manifestation de la conscience sur le plan matériel. Là où l’égocentrisme veut combattre, le centrisme cherche la paix, le calme, l’unité. Là où l’égocentrisme cherche à se manifester, à ce donné un statut, à se donner une fausse gloire, le centrisme ne cherche plus, le centrisme devient simplement la façon de vivre selon la loi de la conscience universelle chez l’homme.
L’égocentrisme se remarque par un effort constant, par une tendance naturelle de dépasser quelque chose. L’égocentrisme est toujours en effort, il cherche toujours à réaliser quelques choses ou à imprimer quelque chose dans son existence, tandis que le centrisme devient de plus en plus passif, créatif, c’est-à-dire qu’il devient de plus en plus un canal par où la conscience créatrice se manifeste selon le degré de réceptivité de l’ego à l’énergie de l’âme.
Il est souvent difficile au début pour l’homme de bien comprendre la différence, de bien saisir la nuance entre l’égocentrisme et le centrisme. Je tiens à bien définir cette différence à bien établir les nuances afin que ceux qui avancent dans la conscience du supramentale puisse se fortifier petit à petit de la connaissance précise de la réalisation de plus en plus parfaite, de l’état d’esprit dans lequel il se trouve.
Devenir centrique est beaucoup plus qu’une valeur morale, c’est en réalité un pouvoir interne qui force l’être humain à devenir de plus en plus conscient de toutes les faiblesses, de toutes les manques, de toutes les divisions qui existent en lui.
À cause de sa perte de communication avec les intelligences qui évoluent dans les sphères et qui cherchent de plus en plus à entrer à la fin du siècle en communication mentale avec l’homme, afin que l’égocentrisme de l’homme qui a créé sa condition présente, soit remplacée par un centrisme intégral qui permettra à l’humanité au cours des siècles qui sont devant nous, de réaliser dans la plus grande conscience des œuvres qui permettront à tous les hommes d’être heureux, parce que tous les hommes auront été unis dans une conscience universel. L’égocentrisme réfléchit la déchéance de l’homme, comme le centrisme réfléchira l’avenir nouveau de l’homme de demain.
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