Pour que l’Homme nouveau bénéficie de l’intelligence nouvelle, lui permettant de voir les choses telle qu’elles sont, il doit se libérer de la pensée cartésienne, afin de puiser dans le réservoir infini de la pensée universelle d’où il lui est possible de comprendre de façon simple et de façon précise les rapports éventuels qui doivent exister entre l’homme, l’esprit de l’homme et l’esprit de l’intelligence et des intelligences qui dirigent l’évolution dans tous les systèmes.
L’homme de la terre, à cause de ses antécédents, à cause de son lien puissant avec l’émotionnel, n’a jamais pu partager les secrets des intelligences supérieures, parce que ces secrets étaient régis par des lois qui devaient maintenir l’homme dans une certaine ignorance, jusqu’au jour où pouvant se libérer de son émotivité, de la subjectivité de sa pensée, il puisse retenir parfaitement la qualité de la vibration agissant à l’intérieur d’une forme mentale, dénuée d’émotivité et non sujette à la probation psychologique de la pensée humaine.
Ce jour est arrivé et l’homme de l’avenir pourra concevoir avec grande facilité et interprété avec grande agilité, les principes fondamentaux de l’organisation psychique de son humanité, ainsi que les principes fondamentaux qui déterminent le développement des civilisations supérieures extra-terrestres. Un des piliers de la doctrine secrète de l’avenir est assis sur une conception très vaste de la réalité psychologique de l’homme et cette conception qui n’a de limite que dans la mesure où l’homme se refuse avec son intelligence d’accepter la possibilité d’une si vaste organisation, d’une si vaste puissance d’organisation créative, ne pourra soulager que les esprits les plus enclins à recevoir ce qui n’est plus possible de cacher.
Ainsi il nous est possible aujourd’hui sur cette planète, d’affirmer que la nature même de l’intelligence est en proportion égale à la quantité de lumière qui existe dans le cosmos. Ceci impliquant que toute la lumière du cosmos réunit et manifestée différemment sur les plans de ce dernier, constitue ce que nous appelons l’intelligence de l’univers. Cette intelligence n’a qu’un but, celui de préserver l’harmonie entre tous les plans, entre toutes les planètes et entre tous les règnes de ces planètes. L’intelligence universelle est puissamment axée sur le principe d’harmonisation qui doit se concrétiser dans tout ce qui constitue l’univers créé.
L’homme en tant qu’être évolutionnaire, doit un jour comprendre la loi de l’intelligence afin de préserver sur sa planète, les formes de vies qui ont été créées et les formes de vies qui doivent évoluer vers une destinée connue d’un certain nombre d’êtres, mais inconnu de la plupart. L’inconscience de l’homme, la créativité de l’homme issu de cette inconscience, ne fait donc pas partie de l’intelligence positive, mais de l’intelligence négative de l’univers.
La compréhension de ceci est importante, car elle permet à un ego évolué à un être sensible, à un être capable de percevoir les vibrations de l’âme, de se dissocier de l’énergie créée par la pensée humaine subjective et de s’associer vibratoirement à une énergie autre, à une énergie qui n’est pas conditionnée par la tradition, par l’histoire, par l’opinion, par l’influence, mais véhiculée des plus hautes sphères d’évolution vers l’homme, représentant les sphères bases de cette évolution mais néanmoins sphères très importantes à cette évolution.
Tant que l’ego humain est rassasié des illusions de son intelligence, il lui est impossible de percevoir le voile qui le sépare de l’intelligence universelle. Il lui est impossible de concevoir l’existence de ce voile et de pénétrer par le fait même dans le rayonnement parfait, équilibré et harmonisant de l’intelligence universelle. L’homme de demain, l’homme qui servira de fondation à l’érection d’une souche humaine nouvelle, sera le premier à reconnaître que l’intelligence n’est pas humaine en soit, mais que l’homme est un canal qui doit recevoir l’énergie universelle d’un principe qui détermine l’orientation de toutes activités créatives dans l’univers.
Et c’est à partir de ce point, dans l’évolution de l’humanité, qu’il sera possible à l’homme de devenir une fois pour toute, indépendant de toutes formes de pensées personnelles, afin de pouvoir recevoir, diriger, instruire dans un mode de créativité libéré de toute forme subjective, imparfaites, liées à la personnalité aveugle des sens humains. Les sens de l’homme sont foncièrement imperméables à la réalité et pour cette raison son intelligence est foncièrement limitée par ses sens.
Tant que la personnalité de l’homme n’est pas altérée par la nature même dont il voit les choses et que son ego n’est pas élevé à une fréquence vibratoire supérieure à celle dictée par la personnalité, il lui est impossible de travailler directement avec des intelligences qui poursuivent sur d’autres plans, des fonctions plus vastes, plus totales et de haute perfection. Cependant l’homme arrive dans un avenir rapproché à rejoindre enfin ces intelligences qui œuvrent sur des plans supérieurs à lui-même, mais tout de même des plans, qui lui sont possiblement visibles et une fois que l’homme à atteint le pouvoir de cette visibilité, il lui est alors impossible de regarder en arrière, car tout ce qui est devant lui, toute l’infinité des possibilités créatives de l’intelligence universelle, fondent dans son esprit un siège de puissance créative, qu’il n’a jamais reconnu que dans les traits profondes et silencieuses aventures de son âme.
Mais un jour l’âme humaine doit devenir une réalité pour l’homme. Son pouvoir doit devenir une fois pour toute, réalisable à travers sa volonté et son potentiel inépuisable, doit aussi être reconnu par l’ego de l’homme dont la manifestation dans la matière ou sous les plans rattachés à cette matière, doivent exercer sur lui, l’impression finale de l’infinité. L’homme a évolué pendant des siècles, des millénaires, à l’intérieur d’une sphère très vaste, cousue de fond en comble de toutes formes possibles et imaginables de mensonges. De mensonges voulus selon le plan de la destinée de la race humaine, mais néanmoins de mensonges, de demi-vérité. Et l’homme de demain doit finalement reconnaître à lui-même le pouvoir d’accès à la réalité, pouvoir qui lui donnera la capacité de voir le tout et de le comprendre d’une façon totale.
La pensée humaine est tellement emprisonnée dans une énergie liée directement avec l’émotion subjective de l’expérience de l’homme que cette pensée est devenue incapable aujourd’hui de remplacer même la faible lueur de son intuition. Cette pensée a perdu le pouvoir de cristalliser en elle-même, le moindre noyau de la réalité. L’intuition de l’homme a perdu sa puissance a perdu sa capacité de pénétrer l’esprit de l’homme. De sorte que ce dernier est maintenant à la merci de ses sens et son intelligence à la merci de sa propre limite. L’homme de demain pourra et devra converser avec très grande facilité avec d’autres êtres, évoluant sur d’autres plans ou sur d’autres planètes.
Mais avant que ce travail, que cette évolution ne commence à porter ses fruits, l’homme qui sera le pionnier de ces communications, de ces conversations à longue distance dans un cosmos infini, sera le premier à souffrir de la perturbation causée par la rencontre entre un esprit qui n’est pas le sien et un esprit qui lui appartient. Et de cette rencontre entre ces deux esprits sortira une nouvelle vibration, une nouvelle vibration qui engendrera dans l’ego de l’homme, un pouvoir de connaître, un pouvoir de reconnaître et un pouvoir de pénétration dans les plus grands secrets de l’universel.
Tant que l’homme n’aura pas réalisé que les moindres desseins de son esprit subjectif, que les moindres contemplations de sa pensée personnelle reflètent des formes puissantes d’énergie émotive, des formes puissantes d’énergie subjectives. Il lui sera impossible de comprendre que derrière le voile de sa pensée, s’érige la cathédrale immense du savoir et de la connaissance. Il ne s’agit plus pour l’humanité, pour l’homme de demain, de regarder derrière lui. Il ne s’agit plus pour l’humanité de contempler ce qu’elle a déjà essayé de comprendre. Il s’agit pour l’homme de demain de revenir une fois pour toute, sûr dans son pays natal, c’est-à-dire, dans son esprit véritable, c’est-à-dire encore une fois dans l’esprit qui est en lui et non dans l’esprit qui a été imprimé en lui. La tâche n’est pas facile et le fardeau est totalement individuel, aucun homme ne peut vivre pour un autre homme.
Le contact avec les sphères, ce contact est personnel et doit s’acheminer selon la capacité vibratoire, énergétique de chaque individu. Mais ce contact implique un principe fondamental, celui de réaliser que l’homme est avant tout surhomme. Que l’homme est avant tout plus grand que ce qu’il a manifesté jusqu’à aujourd’hui. Que l’homme est avant tout, un être puissamment relié aux forces de la lumière et puissamment relié aux forces qui dirigent l’évolution, pourvu qu’il connaisse la nature de son âme et qu’il puisse avec grande facilité pénétrer dans l’énergie de cette réalité personnelle à lui-même.
La terre ne peut plus attendre, les hommes doivent ouvrir un nouveau chemin, les hommes doivent comprendre des choses totalement nouvelles. Les hommes doivent aller vers un devenir qui n’appartient plus au désir d’émancipation de leur ego mais qui fait partie de la totalité, qui fait partie de la réalité et qui est déjà connu sur des plans supérieurs, selon le passé, le présent ou l’avenir.
L’homme ne peut plus s’inquiéter, il doit pourvoir pénétrer de plus en plus dans cette énergie afin de réaliser le plein potentiel de son être et voir la vision totale de son avenir. Autant demain sera difficile pour l’humanité, autant demain sera facile pour une autre partie de cette humanité et la condition absolue de cette différence dans le mode de vie, résidera dans la capacité individuelle de l’homme d’être en contact intelligent, vibratoire, avec les forces dirigeantes de l’évolution qui s’occupent à la fois de sa destinée et de sa création.
L’être humain ne peut plus vivre une vie assujettie à la domination de la forme imposée par une société aveugle décadente et une civilisation mourante. L’être humain ne peut plus être asservit à des conditions de pensées qui ne servent plus l’homme, l’individu et la société, mais desservent à la fois l’individu et cette société. La préservation de l’homme, la préservation de la planète, la préservation de la vie, n’est pas conditionnée par le vouloir ou le pouvoir de l’homme, mais conditionnée par les forces dirigeantes de l’évolution, par les forces de la lumière. Et ces forces deviendront de plus en plus puissantes et toutes contraintes, tout effort contre ces forces s’avérera inutile, car la matière, le corps est issu de l’esprit.
Comprendre que l’intelligence ne vient pas de l’homme n’est pas facile à l’homme, car l’homme a conçu la nature de l’intelligence, à conçu la nature de son intelligence. Et la conception de son intelligence n’est pas une conception terminale, mais bien une conception transitoire, qui découle de la nature même de son ego, de la limitation même de son esprit et de la capacité de vivre au niveau de l’ego et de la personnalité dans le rayonnement total et parfait de l’âme. Bien que l’homme n’y soit pour rien, dans cette condition, bien que l’homme ne soit pas responsable cosmiquement parlant de cette condition, la condition a été vécue par lui, développé par lui et sa gestion depuis le début de l’histoire réfléchit en lui.
Il ne s’agit plus de rationaliser le pourquoi de l’involution mais bien réaliser l’avenir de l’évolution et le début sur cette planète, d’une pénétration de plus en plus puissante, d’énergie vibratoire qui doit détruire les formes de la pensée humaine, c’est-à-dire la fondation de la pensée subjective afin de libérer enfin l’esprit de l’homme et lui permettre éventuellement de connaître ce que veut dire le mot esprit, le mot invisible, le mot infini, le mot lumière, le mot dieu, le mot âme, c’est-à-dire tout ce que sur notre planète nous avons considéré depuis le début comme étant essentiel à toute survie au-delà de la matière.
Ce n’est plus par le biais de la pensée philosophique, quelle que soit sa qualité, sa couleur que l’homme pourra découvrir ce qui est devant lui, mais bien par la perception directe du mouvement de l’esprit sur les différents plans de l’évolution par le mouvement de l’esprit à l’intérieur même des fondations de la création. L’homme possède devant lui une mappe, très vaste, un chemin infini et un pouvoir dont il n’a aucune idée. Autant la vie a été pour lui par le passé une expérience matérielle, autant la vie demain sera pour lui une expérience au-delà des sens, au-delà de la matière, mais directement liée aux sens et à la matière. Si les principautés n’ont pas voulu dévoiler à l’homme les facettes absurdes de ces conceptions, c’était pour lui permettre de développer les outils nécessaires qui devaient un jour lui servir à reconquérir ce qui lui avait été retenu.
Nous savons aujourd’hui que rien ne sera exigé de l’homme que l’ouverture totale de son esprit. Mais nous savons aussi que cette exigence sera totale car le contact entre l’esprit de l’homme et l’infinité de l’invisible est un contact qui nécessite un équilibre parfait entre son mental et son émotif. Et c’est de cette condition remplit dans tous ces aspects que sortira l’homme nouveau, l’homme de la sixième race racine, l’homme de demain.
Autant le temps sert à conditionner l’homme, autant ce dernier sert à le déconditionner, lorsqu’il a commencé à réaliser l’impotence de ses illusions vis à vis la réalité ou la réalisation éventuelle de la nature vibratoire de son être et lorsqu’il a saisi cette nature vibratoire, lorsqu’il a commencé à comprendre les natures qu’opère la vibration en lui, il est sur le chemin qui le mène inexorablement vers le développement total de lui-même, c’est-à-dire vers le contact visuel, intelligent, avec l’invisible.
Et c’est de ce contact avec l’invisible qu’il comprend que le secret retenu par les intelligences des plans supérieurs au-dessus de sa tête, pendant des millénaires était un secret dont il fallait retenir la réalité ou la réalisation parce que, on ne peut donner à un enfant quelque chose dont il ne comprend pas la puissance. Et tant que l’homme était enfant, tant que l’humanité était encore au stage primitif de son évolution, il ne s’agissait pas de mettre entre ses mains des connaissances qui ne pouvait que la desservir. Un homme qui reconnaît l’illusion de l’intelligence humaine commence déjà à pénétrer le secret de la réalité. Un homme qui commence à réaliser l’illusion de la pensée subjective, commence déjà à comprendre l’infinité de la pensée universelle.
Le temps devient alors le juge de son évolution possible et aussi le juge de son développement partiel ou total. Un jour l’homme sera forcé de reconnaître que les intelligences qui dans le passé ont sommés chez lui une reconnaissance, soit religieuse ou mystique, étaient en fait des êtres tel que lui, mais sujet à des conditions beaucoup plus élevées et beaucoup plus parfaites de l’évolution. Toutes émotions liées à l’existence, à la prestance aux services de ces êtres, sont une émotion purement humaine, qui ne peut engendrer chez l’homme qu’une façon primitive de voir les choses. Tant que l’homme devait croire, l’homme ne pouvait savoir, car toutes croyances quel que soit son but, quelle que soit sa valeur, engendre dans l’homme une responsabilité vis à vis ce qu’il croit et cette responsabilité est fondée dans un lien émotif, le liant lui-même à la société, dont il partage le lien.
Lorsqu’en fait tout homme invité à participer avec l’infinité, les couloirs vastes de la connaissance, doivent retrouver en lui-même la grande solitude et observer en lui-même que la réalité dont il connaît les aspects, ne peut servir par organiser socialement les liens entre les hommes. Mais comme la société de l’homme devait être développée, devait s’harmoniser de plus en plus, les croyances devenaient nécessaires.
Mais maintenant que l’homme entre dans un cycle nouveau où l’individualité où l’universalité doit prôner sur toutes les formes possibles d’organisations sociales, il deviendra essentiel à l’homme de voir qu’en lui une flamme le lie à l’universelle, au cosmique et que cette flamme par son produit créatif peut engendrer sur un plan matériel des conditions de vie et d’existences harmonieuses pouvant permettre la réorganisation d’une société selon des principes totalement nouveaux et totalement séparés de la vie psychologique de l’individu ou de la tradition sociale dans laquelle cet individu à pris naissance.
Autrement dit nous avançons que l’homme de demain, l’individu, celui qui entrera en contact vibratoire avec les forces de l’invisible saura reconnaître ceux qui sont sur la même voie d’évolution et saura aussi reconnaître ceux qui vont dans une direction opposée et tout en maintenant un équilibre avec les hommes, il saura créer un équilibre nouveau sur des plans qui ne sauront pas visibles à l’homme dont l’intelligence est encore aveuglée par la raison, par la forme, par la tradition.
Mais cette connaissance doit être avancée aujourd’hui, car demain elle sera comprise. Elle doit être avancée aujourd’hui parce que ceux à qui elle est destinée sont prêts à la sentir, à la percevoir, demain ils seront prêts à la comprendre. Il ne s’agit plus pour l’homme d’interpréter, il s’agit pour lui de recevoir et d’être capable de recevoir sans interprétation, afin que l’énergie, la vibration de ce qu’il reçoit pénètre là où elle doit et heurte en lui le levier qui doit soulever la porte, qui a toujours caché l’espace extérieur.
La porte qui a toujours voilée une réalité autre, la porte qui a toujours empêché l’homme d’être vraiment homme et d’exercer dans le cosmos les droits qui lui sont naturels, c’est-à-dire les droits qui lui permettre d’engendrer sur son plan les forces nécessaires, lui permettant de créer les conditions nouvelles pour une évolution autre. Les droits de communiquer par télépathie non seulement avec les hommes de la planète mais aussi avec les hommes d’autres planètes, non seulement avec les hommes vivants, mais aussi avec les intelligences immortelles des plans supérieurs.
Autrement dit, l’homme doit reconquérir ce qu’il a perdu, non pas par sa faute, mais parce qu’il y avait déjà dans le cosmos des intelligences qui surveillaient le drame humain et qui veillaient à ce que l’évolution prenne place telle que prévue dans les grandes conceptions de ces grandes intelligences. Bien que l’homme ait été meurtri, bien que l’homme ait souffert, bien que l’homme ait été retenu, le temps vient où le même homme ne sera plus fixé à la potence de l’ignorance, mais libérer par ces mêmes forces qui ont cherché par le passé à engendrer en lui une fidélité émotive pour des formes essentielles à la croissance de sa civilisation.
Il est difficile d’annoncer à l’homme des choses qui ne sont pas concrètement réalisables par lui aujourd’hui, mais il est quand même nécessaire d’engendrer en lui suffisamment de forces pour lui permettre de dépasser les limites de sa conception de la vie afin de l’aider petit à petit à surmonter des obstacles de la forme et à dépasser le piège de ses émotions, pour qu’un jour il puisse finalement franchir le mur de l’espace et conquérir les vastes domaines de l’esprit. Car c’est de l’esprit qu’il prend son origine et c’est à l’esprit qu’il doit retourner. Mais cette fois glorifié dans son corps et puissant de sa volonté sur la matière.
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